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  • L’île de Netovia a depuis longtemps été eloignée des conflits et compétitions qui avaient lieu dans le monde entier et alors que des pays et des royaumes comme Unys, Kalos, ou même les îles d’Alola rejoignaient les rangs des regions dont les ligues brillaient dans le monde, et dont les combats pokemons étaient suivis partout à la télé, à la radio et sur l’internet, Netovia demeurait tranquille avec ses eleveurs, son Empire et sa spiritualité. Depuis quelques années néanmoins les choses changent, et Netovia tend de plus en plus à apparaitre sur la scène mondiale des compétitions pokémons. L’inauguration d’une Ligue Pokemon Netovienne il y’a quatre ans maintenant ne s’est cependant pas fait sans heurt et alors que des attentats sont de plus en plus fréquents, des soupçons se portent sans fondement sur ceux qui se font appeler la Team Boreal. Aujourd’hui, alors que l’Empereur Galiak Ingverson s’apprete à rouvrir l’arene de Smokebay détruite il y’a trois mois lors d’une attaque de pokemons glaces, nous sommes en droit de nous demander si la sécurité est suffisante, et si les prétendus activistes montreront le bout de leurs ponyta. Les forces militaires et rangers pokemons se partagent le quadrillage des rues, mais les civils ne semblent pas derangés, la foule déjà s’amasse devant les portes de la réputée arène dont le bâtiment remis à neuf s’eleve avec une vue sur le port imprenable. On peut déja voir parmi les badauds des membres de la ligue, des champions du conseil des quatre et des dresseurs de tout horizon. Ce jour de liesse sera t’il brisé par un nouvel attentat ? Restez connectés sur La Chaine d’Information Netovienne numero 3 pour notre live exclussif avec Frederico Ronflex aux commandes.
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    Liseron D. Ottavy
    Liseron D. Ottavy
    Messages : 11


    LISERON DARYA OTTAVY

       
    Rang D
    Lise
    34 ans
    Empire
    Ranger
    feat. SNIPER WOLF • MGS

    Descriptions
    Ambitieuse ; Attentionnée ; Dévouée ; Digne de confiance ; Discrète ; Disponible ; Méthodique ; Observatrice ; Romantique ; Sensible ; Souriante ;

    Amorphe ; Arriviste ; Arrogante ; Avare ; Blasée ; Capricieuse ; Dépensière ; Dépendante ; Fantasque ; Fourbe ; Jalouse ; Maniérée ; Opiniâtre ; Possessive ; Vaniteuse


    Qu’elle est belle Liseron, à vous regarder de ses océans dans lesquels vous pourriez vous noyer s’ils n’étaient pas aussi mornes de l’arrogance qu’on lui connaît. De sa taille elle vous surplombe, jauge, observe. Elle attend le bon moment pour attaquer et vous planter un couteau dans le dos de sa fourberie  malsaine coulant dans ses veines. Elle sourit faiblement quand ses mimiques ne sont pas fausses, belle actrice qu’elle sait être après ces années à se jouer du monde. Elle n’est plus que le fantôme de son innocence, l’ombre de la femme qu’elle aurait toujours voulu être jeune.

    Pourtant elle garde l’ ambition avare  d’être toujours meilleure ; toujours plus forte, toujours plus de choses qu’elle ne sera jamais. Qu’elle ne sera plus. Elle est le reflet d’une réalité qu’elle ne peut pas être, un futur qu’elle ne pourra de toute évidence plus obtenir. Liseron n’est plus maîtresse de ses choix, délicate femme de porcelaine qu’elle semble être de son romantisme  si touchant. Elle est la muse empoisonnée, la succube maniérée  de ses gestes lents et calculés, toujours là pour raconter quelque chose. Rien de superflu, tout à son importance. Elle aime, à putain d’en crever. Elle aime à en perdre la tête. Et si elle doit offrir jusqu’à son humanité pour le prouver alors Liseron n’hésitera pas. Au point où elle en devient malsainement dépendante. Elle est cette vipère avare  d’attention et d’intentions, celle qu’on couvre de présents pour satisfaire sa vanité. Elle est celle qui est fausse, presque amorphe  si on ne prend pas le temps de la connaître. D’un regard vide elle épie, blasée  de cette vie en solitaire qu’elle a décidé de passer quand il n’est pas là pour la soutenir.

    C’est probablement pour ça qu’elle se montre si possessive  ; il est son ombre et elle est la sienne. Il est ce qu’elle a de plus précieux, ce pourquoi elle se bat tous les jours. Elle est celle fantasque  odieuse prête à tout pour plaire, celle qui de son arrivisme  toxique n’hésitera pas à se faire de vous. Elle n’a pas de coeur Liseron, du moins c’est ce qu’elle essaye de faire croire au monde pour se protéger elle et sa jalousie  la rongeant.

    Tout ça par peur.
    Parce qu’au fond, Liseron n’est rien.

    Elle attend la reconnaissance. Elle attend qu’on la remarque et qu’on daigne bien faire attention à elle pour se montrer sous son véritable jour. Sa morosité  elle l’échangera contre des sourires  maladroits, hésitants et probablement gênants tant Liseron n’a pas, plus l’habitude qu’on s’intéresse à qui elle est réellement. Alors sa discrétion  frappera, elle ne parle jamais pour rien dire ; elle n’aime pas ça. Par contre elle se montrera douce dans ses gestes délicats  et presque méthodiques. Elle ne fait pas grand chose mais quand elle se décide à passer à l’action c’est qu’elle sait ce qu’elle fait et c’est probablement pour ça qu’elle essaye d’être aussi disponible  que possible pour ceux faisant partis de la cause d’elle défend.

    Qu’elle est belle Liseron.

    FACTS : veuve ; tente de se reconstruire ; a une certaine affinité avec les pokémons canins ; polyglotte, parle italien, unysien, kalosien et russe ; a toujours rêvé d’être une ranger pour sauver les pokémons plus petite ; mais son avarice a toujours pris le dessus ; elle s’appelait Bianca Dina Accorsi avant de changer son identité ; son nom d’épouse était Gabrielli‎ ; officiellement décédée sous sa véritable identité ; commence enfin à prendre sa vie en main ; se cherche encore ;  sa jambe gauche la fait encore un peu souffrir après un accident ; extrêmement influençable ; souffre de troubles anxieux ; assez manique ; a tendant à vérifier plusieurs fois les mêmes choses de peur d'oublier quelque chose ; s'attache extrêmement vite ; sa dépendance a tendance à lui jouer des tours ; amoureuse des pokémons ; a déjà remporté deux prix

    PHYSIQUE : 1M68 ; cheveux blonds tombant dans son dos jusqu'à ses omoplates ; carrure sportive ; aime le luxe et les bijoux mais tente de se défaire de cette habitude ; yeux bleus perçants ; agile ; style assez provocateur ; démarche féline ; donne toujours l'impression d'être sûre d'elle
    .

       
    Ainsi débute notre histoire •••
    Résumé:

    Tu avais tout pour réussir Bianca.
    Tout pour plaire.
    Tout pour y arriver.

    Et avoir une vie de princesse.

    Tes parents ont toujours été présents pour toi, petite princesse russo-italienne née dans la classe élevée d’Italie. Petite blonde aux yeux océans capables d’obtenir mille et une caprices. Oh que tu étais belle et délicate. Une petite poupée qu’on protège et qu’on balade d’écoles privées en écoles privées pour lui offrir la meilleure éducation possible. La pression s’est installée dès les premières années, toi qui était vouée à un des plus radieux avenir.

    Tu semblais si heureuse.

    Rien n’a été laissé au hasard. Tu devais rester dans la haute société, briller, satisfaire l’ego démesuré de tes géniteurs avides de reconnaissance. Alors tu as été épuisée par les chants, la danse et les langues où tu excellais de par tes origines. Tu n’avais pas d’amis, ni même de connaissances mais tu te suffisais de tes passions et de ton amour pour le patin à glace qui vint rapidement dès ton dixième anniversaire. C’était là ton seul échappatoire, le seul moment où tu étais autorisée à quitter ta prison dorée brûlant sans cesse tes ailes de cire.

    Et pourtant, plus les années passaient, plus ce sentiment de rébellion grimpait en toi.
    Comme une envie de te soustraire à l’autorité toxique de tes parents aimants.

    À t’enfermer ils t’on rendu naïve.
    Malléable.
    Manipulable.
    Toi qui ne connaissais rien de ce monde, comment pouvais-tu t’en protéger ? Là a été leur plus grande erreur.

    Tu as continué tes études jusqu’à tes dix-neuf ans avant de te lancer sous les projecteurs sur la scène professionnelle du patinage artistique. Tu avais été repéré plus tôt lors de représentations amateures dans l’espoir de dégoter des nouveaux talents et tu avais été sélectionné pour continuer ta vie dans ce milieu te faisant tant rêver. Tu t’y es lancée corps et âme malgré la réticence de tes parents mais tu semblais si épanouie qu’ils ont dû se résigner à te laisser continuer sur ta voie. Tu étais toujours à temps de faire marche arrière se disaient-ils.

    Mais ça, c’était avant de le rencontrer. Il s’est présenté à toi, élégant dans son costume au prix outrancier pour s’installer à tes côtés après une de tes représentations. Il t’a mis en confiance de ses mots doux, te noyant d’éloges les plus mélodieuses pour te faire tomber petit à petit dans son piège. Oh nul doute que Roméo n’a aimé de tout son coeur plus tard, mais à cet instant il ne voyait en toi qu’un vulgaire moyen de gonfler sa fortune. Il est revenu à chacune de tes représentations, toujours aussi avenant de sa séduction presque grivoise. Il était plus âgé que toi, assez pour pouvoir te faire rêver et te promettre plus. Dire que tu n’as pas été charmé serait mentir et petit à petit, au fil des mois, tu t’es ouverte à lui.

    Tu lui as parlé de tes rêves d’enfant, de tes envies et de tes folies rêveuses ; de ton avare désir de découvrir le monde. Cette idylle, il te l’a promis en t’emmenant avec lui à Unys, loin de tes parents désapprouvant fortement votre union. Tu n’as eu que faire de leur avis, toi la petite fille qui ne se doutait de rien. Tu as été naïve, mais tu étais amoureuse, ça c’était certain. Lui t’a offert reconnaissance en échange de ton argent. Il t’a donné l’accès à de grandes scènes unysiennes pour te produire et réaliser l’un de tes plus grands rêves. Il a joué de ses contacts obscurs sans que tu ne te doutes de rien.

    Puis il t’a offert Giovanni pour ton vingt-et-unième anniversaire. Ce n’est qu’un petit bébé à peine sorti de son oeuf quand tu l’as pris dans tes bras la première fois pour le réconforter et le mettre en confiance. Tu l’as choyé comme la plus belle des créatures et lui a sû te le rendre au centuple en te suivant partout où tu allais. Tes parents n’avaient jamais daigné t’offrir de pokémon, soit disant étaient-ils un frein qui risquait de te déconcentrer dans tes études alors pour l’amoureuse des pokémons que tu étais depuis ta plus tendre enfance il était comme un don venu du ciel.

    À tes vingt-deux ans tu as épousé Roméo. Il était devenu la seule personne à qui tu pouvais te rattacher et dépendante de ses décisions tu n’avais de toute évidence pas d’autres possibilités d’avenir. Tu ne sais pas, avec du recul, s’il avait tout calculé depuis le début pour t’arracher à ta famille mais ce qui était certain c’est que tu n’as rien vu venir à l’époque. Lui s’est laissé aller avec toi, d’homme parfait il a fini par montrer une facette plus sombre de lui. Plus avare, gangréné par l’envie d’avoir toujours plus et de dérober la gloire de la famille à laquelle il appartenait.

    Les Ventimiglia.

    Tu t’es montrée réticente au début, effrayée par cette pègre dont tu ne présageais rien de bon. Tu n’étais qu’une fille de riche, élevée comme telle loin de la misère ou de la violence ; une véritable poupée de porcelaine qu’on préserve de peur de la briser. Tu étais étrangère au trafic d’armes et au recel aussi divers que variés auquel semblait se prêter ton époux. Et si tu as compris que Giovanni venait probablement de là tu n’as jamais rien demandé. Tu t’es contenté de faire bonne figure, de baisser les yeux et de t’accrocher désespérément à lui si tu ne voulais pas le perdre.

    Tu as vécu trois ans comme ça, à rester silencieuse. À faire acte de présence, sourire, remplir ses papiers quand il en avait besoin quand tu ne t’entraînais pas pour te produire et lui ramener plus d’argent. Plus le temps passait, plus vous rentriez dans un cercle vicieux et mortel. Lui voulait plus, toujours plus. Soit disant pour satisfaire les caprices qu’il t’avait appris à demander.


    Sois disant c’était ta faute.

    Tu n’étais encore qu’une enfant comparée à lui, lui qui t’avait appris à obtenir tout ce que tu voulais tu ne comprenais pas pourquoi tu n’y avais plus droit. Roméo ne te disais jamais rien alors tu ne t’es pas douté que les affaires ne tournaient plus aussi bien. Tu as vécu dans l’ignorance de longs mois, vos relations s’effondrant petit à petit. Plusieurs fois tu as pensé au divorce mais tu n’as jamais trouvé la force de lui avouer : à chaque fois tu lui trouvais des excuses ou lui te faisait culpabiliser par tes besoins toujours plus onéreux les uns que les autres.

    Jamais tu n’as considéré votre relation comme toxique, pourtant tu lui étais totalement dépendante : de tes prestations tu ne touchais rien, de tes sponsors tu n’as jamais rien eu entre les mains. Tu n’étais qu’un moyen comme un autre d’avoir de l’argent mais encore une fois tu n’as pas été capable de t’en rendre compte assez tôt. Tu t’es contenté de subir et l’accident dont tu as été victime a été le point final de votre histoire.

    Tu as fais une sale chute en plein direct en te réceptionnant mal après une figure complexe. Aussitôt évacuée tu es restée quelque temps à l’hôpital avant que Roméo ne te ramène à la maison malgré la contre-indication des médecins. Lui avait un plus grand projet pour vous. Il n’avait pas le temps d’attendre que tu te rétablisses et il n’avait que faire que tu avais du mal à marcher : lui voulait renverser le monde et se venger de cette famille s’était moqué de lui.

    Oh si tu t’étais douté de ce qu’il avait fait Bianca, tu serais partie plus tôt.

    Tu te souviens des flammes léchant la bâtisse. Les cris, les pleurs.
    Tu te souviens de ta peur.
    Et de sa folie.

    À cet instant tu as compris que ta vie était en jeu si tu restais avec cet homme. Aussi bien par sa main, parce qu’il avait été assez fou pour accepter de pactiser avec une famille ennemie par vengeance que par celle des Ventimiglia pour se venger. Jamais ton innocence ne sera prise au sérieux.

    Alors tu as fui, tu as attendu d’être seule pour faire tes valises, prendre le nécessaire et dérober l’argent liquide qu’il gardait toujours sous le matelas avant de prendre le premier billet d’avion direction l’Italie pour rentrer chez toi. Tu n’as rien dit, femme silencieuse que tu étais, au coeur serré par la peur. Tu es retournée chez tes parents, le regard baissé, l’air honteuse et surtout mal accueillie par ces géniteurs s’étant sentis trahis. Mais quand bien même ils gardaient une certaine rancœur envers toi ils n’ont pas été capables de te chasser hors de chez eux en te laissant une dernière chance de te rattraper.

    Tu leur as présenté Giovanni en leur promettant de faire de ton mieux pour te rattraper ; tu as bien tenté d’aider ta mère dans ses papiers mais ça ne t’a jamais vraiment réussi. Incapable de soutenir ton père dans son métier tu t’es recroquevillé sur toi-même, hésitante et maladroite. De tes vingt-cinq ans tu as cherché un avenir en soignant petit à petit cette blessure refusant de s’en aller. Tu as souffert, tu as pleuré et tu t’es laissé porter par la vie, les jours, les mois et les années. Roméo n’a cessé de te contacter sans jamais avoir de réponses de ta part. Plusieurs fois il a tenté de s’excuser, de te faire comprendre qu’il avait changer et qu’il voulait te retrouver. Mais jamais tu n’as daigné lui offrir un mot. Pas même un signe de vie. Jusqu’au jour où il t’a fais savoir sa présence en Italie. Lui était déterminé à te retrouver sans que tu ne saches trop pourquoi. Ses appels sont venus hanter tes nuits, ses messages allant jusqu’aux menaces t’ont rendu malade.

    Jusqu’au silence absolu. Du jour au lendemain, il a cessé ses recherches et ses supplications. Alors tu as compris -ou peut-être t’es tu seulement persuadé, que tu devais partir. Encore. Parce qu’ils allaient finir par vouloir remonter jusqu’à toi. Tu as cherché un moyen de t’effacer, de tuer cette femme que tu étais actuellement.

    Bianca ne serait plus qu’un fantôme.

    Tu as quémandé l’aide de mains sales, noircies par l’illégalité et le trafic en tout genre. Tu as donné tes économies, ta maigre fortune contre une nouvelle vie. Tu n’avais pas d’autres choix si tu voulais survivre et espérer sauver la vie de tes parents. Tu as tout donné, tes biens, ton argent, tout ce qui a pu te permettre de payer ces faux papiers et cette mort simulée tu leur as donné avant de fuir à nouveau le pays. Le corps de Bianca Dina Gabrielli‎, née Accorsi a été retrouvé sans vie sur les bords d’une plage italienne. Tes parents, laissés dans l’ignorance, ont préféré chasser les caméras sans chercher à connaître les raisons de ton décès.

    Cette information tu ne l’as jamais réellement su. Tu t’es toujours caché la vérité, honteuse de cet acte d'égoïsme pur pour sauver ta propre vie. Tu es arrivé à Netovia, élégante, maniérée malgré l’anxiété en jouant ce jeu de ton innocence toxique.

    Maintenant tu étais Liseron Darya Ottavy, veuve d’un homme d'affaires kalosien ayant perdu la vie dans un accident de voiture. Tu as été secrétaire plusieurs années avant de quitter ton emploi pour espérer reprendre ta vie en main en arrivant sur cette île. Le problème c’est que tu n’avais nul part où aller et jamais tu n’as eu besoin d’être indépendante du haut de ton trentième anniversaire. Un regard empli de détresse lui aura suffi à venir vers toi, accueillant, agréable et serviable quand tu t’es présenté à lui un peu maladroitement. Ta rencontre avec Lucky avait tout du film kitsch un peu bateau et dépassé et pourtant tu devais bien avouer que l’aide de l’homme à te trouver plusieurs adresses où crécher t’auras permis de survivre quelques nuits.

    Puis vous vous êtes revus. Tu t’es montré timide avec lui, un peu hésitante et totalement imprudente. Tu as prétexté avoir besoin de son aide, toujours un peu perdue dans tes recherches pour espérer t’implanter correctement dans ce cadre utopique qu’était la région ; tout ça pour le revoir et essayer d’en apprendre un peu plus sur lui.

    Tu t’es laissé charmer par ses sourires, son air atypique et séducteur. Brisée par Roméo tu t’es laissé aller, tu as osé faire le premier pas, possessive et avare que tu pouvais être de peur de perdre le seul lien que tu avais réussi à te faire ici. Jusqu’à terminer par t’installer chez lui et te sécuriser un lieu où dormir.

    Suite à ça tu as pu reprendre ta vie en main, revoir tes rêves d’enfants et chasser l’art dans lequel tu avais passé une bonne partie de ta vie. Tu as toujours été sportive et maintenant que tu étais décidé à repartir de zéro tu n’avais pas peur de te salir les mains. C’est dans l’ambition de réussir que tu t’es présentée à l’examen des rangers et espérer rejoindre leurs rangs. La réalité a pourtant rapidement repris le dessus ; échouant la première année tu as redoublé d’efforts en te trouvant en même temps un petit boulot à mi-temps dans une pension pokémon pour en apprendre plus et retenter l’examen l’année suivante.

    Encore maladroite et accompagnée de rangers plus expérimentés, tu attends le métier quotidiennement depuis bientôt deux ans dans l’espoir de rattraper toutes tes erreurs et aider ton prochain.


       
    GIOVANNI - ZORUA ♂ D
    Giovanni c'est le soleil de ta triste existence. Petite boule de poils probablement dérobée, tu t'en occupes de la meilleure des manières. Sans pokéball tu le laisses gambader partout où il veut et entretient avec lui une relation basée sur la confiance. Très obéissant, mignon et calme il lui arrive quand même de se montrer très capricieux quand tu refuses de lui accorder ses demandes. Toujours fourré dans tes pattes il ne te laisse pas la moindre minute de répit.

    slt c la turbo tchoin



       
    Arni Fregnarson
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    FELICITATIONS TU ES VALIDE(e)
    Bien joué ! Ta fiche étant au top nous te validons immédiatement RANG D avec Zorua -  RANG D en starter.  Tu peux d'ores et déja aller poster partout sur le forum, mais voici quelques liens qui nous le pensons pourraient t'être utiles. Tout d'abord la T-CARD obligatoire dans la quelle n'oublie pas de te rajouter 5 pokeballs et 1 potion puis les fiches de liens.  Par ici tu trouveras également un lien rapide vers les modération diverses et les les missions, gages et défis



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