- Isis Álfur
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Isis Álfur
Rang B Isis 20 ans Empire Maitre d'arène de type Fée feat. Shinobu Demon Slayer | Descriptions Athlétique - Féérique - Disciplinée - Combative - Curieuse - Sensible - Aime la nature - Hautaine un peu - Piquante - Aime les défis - Protectrice Isis est une petite fille, en apparence seulement. Son physique est frêle, certes, mais athlétique. Ses cheveux noir contrastent avec une peau presque diaphane. Ses yeux très sombres aux teintes violines semblent perçants et surplombent un sourire d’ange. Vestimentairement, elle aime les vêtements amples et confortables, les couleurs claires, et les motifs très fleuris. Rien de particulier à dire de plus sur son physique, son mental est lui, bien plus tranchant. Si son sourire laisse penser qu’elle est une joyeuse jeune femme sans problèmes. Il en est autrement. Piquante, un poil hautaine et sûre d’elle, sa langue est bien pendue mais toujours bien sentie. Cependant elle n’est pas pour autant dans l’irrespect non, au contraire, elle respecte ses aînés et les règles, du moins en partie. Car la fougue de la jeunesse n’est pas pour autant disparue, non, c’est même un de ses moteurs pour être encore meilleure. Son esprit n’est pas compétitif, ce serait mentir de dire qu’elle n’aime pas gagner, comme tout le monde, mais elle tire les leçons de tout. Une défaite ? Elle ne perdra pas la prochaine fois, elle en a eu beaucoup au fond et c’est ce qui la rend tenace et combative. Forgée par différentes personnes et une détermination dévorante, son esprit est discipliné, compartimenté pour ne pas sombrer. Choyée, élevée sans réels “besoins”, elle a un regard partiellement utopique du monde qui l’entoure, mais… au fond, ce n’est qu’une carapace. Une lumière pour cacher la noirceur du monde qui l’entoure… et qui ne cesse d’augmenter. Et comme tout est mieux avec quelques paillettes. Voici quelques infos inutiles mais essentielles : Elle adore le rose, les cookies et l’odeur du jasmin. Elle voue une adoration pour ses pokémons et les pokémons fées depuis sa tendre enfance. Elle passe beaucoup de temps dans la nature et si elle devait se reconvertir, elle voudrait être éleveuse de pokémon fée. Bon, elle le fait un peu aussi mais… c’est différent. Elle a peur de l’orage aussi. |
“Ne va pas par la Isis !”
Mais si je cours, je cours avec mon rire d’enfant derrière ce papilusion, tellement vite que je ne vois pas la racine, que je ne vois pas le bord du ravin, et si je dégringole, et si la douleur sur mon genou est forte et que ma petite personne ne le supporte pas, elle est la, avec ses mots doux, ses baisers sur mon front, et ses bras autour de moi. Mon père n’était plus sur le tableau, mais elle, c’était la meilleure.
Je veux un papillusion !!
Depuis ma tendre enfance les pokémons sont une sorte de… passion. J’ai grandi à Sund, dans la magie et la féerie de Netovia. J’adorais rester éveillée la nuit pour voir les pokemons danser aux diverses fêtes. Ma mère me donnait tout, j’étais choyée, aimée, gâtée. Enfant unique, elle cédait à presque tous mes caprices sauf un : Je voulais aller dans la forêt pour attraper un pokémon. “C’est trop dangereux”. Alors je boudais, souvent.
Je jalousais mes camarades qui en avaient, aussi moche et inoffensifs pouvaient ils être. Alors l’année de mes 10 ans, je suis partie seule dans les prairies, partant à la suite d’un moumouton joueur. Passant la journée à poursuivre les pokémons et jouer avec les plus espiègles. Tous les habitants de Sund connaissent les travers des galopantes. On peut vite s’y perdre, et c’est ce qui m’arriva.
Je ne compris pas tout de suite pourquoi tous les pokémons autour de moi partaient aussi vite, un nouveau jeu ? peut-être ? Non, le bruit sourd et le tremblement du sol me firent paniqué, et si je courais vite, le Tauros énervé aussi. Tout se passa très vite, trop vite. je m'étais recroqueviller, prête à me faire pulvériser. Mais non, le pokémon avait arrêté sa course non loin, contre un autre pokémon. J’observais, tremblante, leur duel de regard, reculant un peu. C’était un pokémon étrange, que je n’avais jamais rencontré alors. Le Tauros, apparemment agacé, repartit dans l’autre sens, aussi vite qu’il était venu. Et je me mis à pleurer, à chaudes larmes, les nerfs me lâchent. Et si le pokémon semble surpris, je le suis tout autant que lui. Je l’ai suivie, pourquoi ? Je ne sais plus ce à quoi je pensais, ce petit pokémon m’avait empêché de me faire piétiner, alors pourquoi pas ?
Peu à peu le paysage redevient familier, et je rentrait alors que la nuit arrivait. Je voulu emmener le pokémon avec moi, mais ma mère refusa, le laissant dehors alors qu’elle me hurlait dessus à l’intérieur.
S’en suivit une punition, s’en suivit des heures à traîner à la bordure de la forêt, retrouvant ce pokémon qui n’était jamais parti très loin. C’est le mien, sans l’être, voilà ce que je pensais. Je n’en parlais à personne, ni à l’école, ni en ville. C’était notre secret.
Lyrie devint mon pokémon officiellement l’année de mes 15 ans, avais-je convaincu ma mère ? Non. Et cela fut le fruit de nombreuses disputes à la maison. Après 4 ans à s'entraîner et à se voir en cachette en fin de journée, j'ai enfin pu découvrir la vie avec un pokémon. Mon rêve accompli.
Finie la jalousie, je voulais être la plus forte. Mon premier échec fut contre un jeune homme de l’école des dresseurs. Cela m'a valu des larmes.J’enchainais les échecs, sans comprendre pourquoi.
Et alors que je me battais contre un pauvre arbre à coups de bâton à la sortie de la ville. Ce fut un des prof pokémon qui vint me parler? Pourquoi ? Je ne saurais jamais. Mais ce qu’il me dit ce jour la, aussi stupide soit il, me motiva à partir à l’aventure, a arpenter Netovia, me battant contre les dresseurs qui voulaient en découdre et gagnant en expérience. Il y eu des victoires, des défaites, des frayeurs. Mais je revenais toujours à Sund. J’aidais les gens de la ville, les rangers, surveillant la ville et ses alentours. Les victoires devenaient nombreuses et ma confiance en moi avec. Quasiment tout le monde à Sund me connaissait.
Puis vint le drame qui changea cette petite vie “parfaite”, il y a 3 ans. Alors que je rentrais d’une course pour un ancien de la ville, je vis ma mère en larmes.
Je n’en peux plus c’est la fin,c ‘est trop difficile...
La fin de quoi lui ai je demandé. Mysdibule se rapprocha tout comme moi. Mais elle ne voulut pas parler. Elle s’enferma dans sa chambre, pendant des jours, ne faisant que pleurer, nuit comme jour. Je fis de mon mieux pour qu’elle mange et boive mais rien n’y faisait. Et elle fit l'irréparable, alors que j’ouvrais la porte pour lui amener son petit déjeuner, le plateau rencontra le sol, mes genoux aussi. Choquée par ce que j’avais vu. Pourquoi est-ce qu’elle s'est suicidée ? Je n'eut comme réponse qu’une simple lettre. Une lettre, voilà tout ce que j'eus comme explications.
“Isis, ma petite Isis…
Je ne t’ai jamais parlé de mon passé, de celle que j’étais avant toi. Tu as été le fruit de l’amour et si ton père est parti il y a longtemps, ne doute pas que je t’aime de tout mon cœur. J’ai tout quitté pour lui à l’époque, cela me semble si loin et maintenant si vrai.
Tu as un frère, et tu as une soeur aussi. Ils sont aussi ta famille n’en doute pas. [...]
Je suis désolée Isis, je ne peux plus vivre avec ce que j’ai fait, avec ce qu’il c’est passé, tout est de ma faute et je ne supporte plus le poids de ce passé [...]”
La rage m’avait consumée pendant plusieurs jours. Je ne comprenais pas, une autre famille ? Une autre vie ? Des noms, des secrets. Est ce que je voulais tout détruire? Oui. Est ce que Mysdibule aussi ? Oui.
Partant en courant dans la forêt, j’y resta plusieurs jours, combat après combat, je m’épuisais. Personne n'avait osé m'approcher depuis des jours, craignant ma colère ou un coup de mon pokémon qui me défendait bec et ongle. Cependant, un soir, ce fut un des hommes de l’empire, un arriviste envoyé pour tenir l’arène de Sund, qui vint me voir.
Faisons un combat.
Je refusais, mais il insista. Alors ce fut une défaite de plus, cuisante. J’était énervée qu’un arriviste me batte aussi facilement.
Ton pokémon et toi êtes forts. Mais tu dois apprendre à canaliser tes émotions. Même en ce moment.
j’en voulais à ma mère, à tout ce qu’elle m'avait caché, à ce soi- disant frère qui vivait quelque part à Netovia. J’étais en colère, mais j'ai compris les mots qu’il venait de prononcer.
Il m'entraîna, ou du moins m’aida, comme d’autres dans la ville. Peu à peu, je redevenais celle que j’étais, cachant l’existence de cette lettre cachée chez moi. Ma soif de vengeance épanchée lorsque je me battais, mais jamais éteinte.
Ainsi, lorsqu’il tomba malade il y a deux ans, je lui proposai enfin un combat. Et cette fois, je gagnais, de manière majestueuse. Alors lorsqu’il me proposa de reprendre le flambeau de l’arène, de continuer ce qu’il avait commencé lui, j’acceptai, du haut de mes 19 ans, j’assouvissais ma soif de combat, de défis tout en continuant mon bénévolat dans la ville.
Je suis devenue la nouvelle Isis, championne d’arène le jour, et assoiffée de vengeance la nuit. Finalement, je suis un peu comme Lyrie, je ne montre pas tout à l'extérieur.
Mais si je cours, je cours avec mon rire d’enfant derrière ce papilusion, tellement vite que je ne vois pas la racine, que je ne vois pas le bord du ravin, et si je dégringole, et si la douleur sur mon genou est forte et que ma petite personne ne le supporte pas, elle est la, avec ses mots doux, ses baisers sur mon front, et ses bras autour de moi. Mon père n’était plus sur le tableau, mais elle, c’était la meilleure.
Je veux un papillusion !!
Depuis ma tendre enfance les pokémons sont une sorte de… passion. J’ai grandi à Sund, dans la magie et la féerie de Netovia. J’adorais rester éveillée la nuit pour voir les pokemons danser aux diverses fêtes. Ma mère me donnait tout, j’étais choyée, aimée, gâtée. Enfant unique, elle cédait à presque tous mes caprices sauf un : Je voulais aller dans la forêt pour attraper un pokémon. “C’est trop dangereux”. Alors je boudais, souvent.
Je jalousais mes camarades qui en avaient, aussi moche et inoffensifs pouvaient ils être. Alors l’année de mes 10 ans, je suis partie seule dans les prairies, partant à la suite d’un moumouton joueur. Passant la journée à poursuivre les pokémons et jouer avec les plus espiègles. Tous les habitants de Sund connaissent les travers des galopantes. On peut vite s’y perdre, et c’est ce qui m’arriva.
Je ne compris pas tout de suite pourquoi tous les pokémons autour de moi partaient aussi vite, un nouveau jeu ? peut-être ? Non, le bruit sourd et le tremblement du sol me firent paniqué, et si je courais vite, le Tauros énervé aussi. Tout se passa très vite, trop vite. je m'étais recroqueviller, prête à me faire pulvériser. Mais non, le pokémon avait arrêté sa course non loin, contre un autre pokémon. J’observais, tremblante, leur duel de regard, reculant un peu. C’était un pokémon étrange, que je n’avais jamais rencontré alors. Le Tauros, apparemment agacé, repartit dans l’autre sens, aussi vite qu’il était venu. Et je me mis à pleurer, à chaudes larmes, les nerfs me lâchent. Et si le pokémon semble surpris, je le suis tout autant que lui. Je l’ai suivie, pourquoi ? Je ne sais plus ce à quoi je pensais, ce petit pokémon m’avait empêché de me faire piétiner, alors pourquoi pas ?
Peu à peu le paysage redevient familier, et je rentrait alors que la nuit arrivait. Je voulu emmener le pokémon avec moi, mais ma mère refusa, le laissant dehors alors qu’elle me hurlait dessus à l’intérieur.
S’en suivit une punition, s’en suivit des heures à traîner à la bordure de la forêt, retrouvant ce pokémon qui n’était jamais parti très loin. C’est le mien, sans l’être, voilà ce que je pensais. Je n’en parlais à personne, ni à l’école, ni en ville. C’était notre secret.
Lyrie devint mon pokémon officiellement l’année de mes 15 ans, avais-je convaincu ma mère ? Non. Et cela fut le fruit de nombreuses disputes à la maison. Après 4 ans à s'entraîner et à se voir en cachette en fin de journée, j'ai enfin pu découvrir la vie avec un pokémon. Mon rêve accompli.
Finie la jalousie, je voulais être la plus forte. Mon premier échec fut contre un jeune homme de l’école des dresseurs. Cela m'a valu des larmes.J’enchainais les échecs, sans comprendre pourquoi.
Et alors que je me battais contre un pauvre arbre à coups de bâton à la sortie de la ville. Ce fut un des prof pokémon qui vint me parler? Pourquoi ? Je ne saurais jamais. Mais ce qu’il me dit ce jour la, aussi stupide soit il, me motiva à partir à l’aventure, a arpenter Netovia, me battant contre les dresseurs qui voulaient en découdre et gagnant en expérience. Il y eu des victoires, des défaites, des frayeurs. Mais je revenais toujours à Sund. J’aidais les gens de la ville, les rangers, surveillant la ville et ses alentours. Les victoires devenaient nombreuses et ma confiance en moi avec. Quasiment tout le monde à Sund me connaissait.
Puis vint le drame qui changea cette petite vie “parfaite”, il y a 3 ans. Alors que je rentrais d’une course pour un ancien de la ville, je vis ma mère en larmes.
Je n’en peux plus c’est la fin,c ‘est trop difficile...
La fin de quoi lui ai je demandé. Mysdibule se rapprocha tout comme moi. Mais elle ne voulut pas parler. Elle s’enferma dans sa chambre, pendant des jours, ne faisant que pleurer, nuit comme jour. Je fis de mon mieux pour qu’elle mange et boive mais rien n’y faisait. Et elle fit l'irréparable, alors que j’ouvrais la porte pour lui amener son petit déjeuner, le plateau rencontra le sol, mes genoux aussi. Choquée par ce que j’avais vu. Pourquoi est-ce qu’elle s'est suicidée ? Je n'eut comme réponse qu’une simple lettre. Une lettre, voilà tout ce que j'eus comme explications.
“Isis, ma petite Isis…
Je ne t’ai jamais parlé de mon passé, de celle que j’étais avant toi. Tu as été le fruit de l’amour et si ton père est parti il y a longtemps, ne doute pas que je t’aime de tout mon cœur. J’ai tout quitté pour lui à l’époque, cela me semble si loin et maintenant si vrai.
Tu as un frère, et tu as une soeur aussi. Ils sont aussi ta famille n’en doute pas. [...]
Je suis désolée Isis, je ne peux plus vivre avec ce que j’ai fait, avec ce qu’il c’est passé, tout est de ma faute et je ne supporte plus le poids de ce passé [...]”
La rage m’avait consumée pendant plusieurs jours. Je ne comprenais pas, une autre famille ? Une autre vie ? Des noms, des secrets. Est ce que je voulais tout détruire? Oui. Est ce que Mysdibule aussi ? Oui.
Partant en courant dans la forêt, j’y resta plusieurs jours, combat après combat, je m’épuisais. Personne n'avait osé m'approcher depuis des jours, craignant ma colère ou un coup de mon pokémon qui me défendait bec et ongle. Cependant, un soir, ce fut un des hommes de l’empire, un arriviste envoyé pour tenir l’arène de Sund, qui vint me voir.
Faisons un combat.
Je refusais, mais il insista. Alors ce fut une défaite de plus, cuisante. J’était énervée qu’un arriviste me batte aussi facilement.
Ton pokémon et toi êtes forts. Mais tu dois apprendre à canaliser tes émotions. Même en ce moment.
j’en voulais à ma mère, à tout ce qu’elle m'avait caché, à ce soi- disant frère qui vivait quelque part à Netovia. J’étais en colère, mais j'ai compris les mots qu’il venait de prononcer.
Il m'entraîna, ou du moins m’aida, comme d’autres dans la ville. Peu à peu, je redevenais celle que j’étais, cachant l’existence de cette lettre cachée chez moi. Ma soif de vengeance épanchée lorsque je me battais, mais jamais éteinte.
Ainsi, lorsqu’il tomba malade il y a deux ans, je lui proposai enfin un combat. Et cette fois, je gagnais, de manière majestueuse. Alors lorsqu’il me proposa de reprendre le flambeau de l’arène, de continuer ce qu’il avait commencé lui, j’acceptai, du haut de mes 19 ans, j’assouvissais ma soif de combat, de défis tout en continuant mon bénévolat dans la ville.
Je suis devenue la nouvelle Isis, championne d’arène le jour, et assoiffée de vengeance la nuit. Finalement, je suis un peu comme Lyrie, je ne montre pas tout à l'extérieur.
Lyrie— RANG B Cette Mysdibule est une diva, elle aime faire la belle et se pavaner, montrer qu'elle est la plus forte car elle y crois dur comme fer. Elle ne supporte pas être dans sa pokeball et elle considère Isis comme sa sœur d’arme, du moins c’est ce que Isis dit. Très défensive, elle n’hésite pas à s’en prendre à ceux qui menacent Isis, et cela, depuis le début. Elle est très fourbe, et c’est ça qui plaît à Isis. Même si son côté possessif peut parfois être compliqué lorsque Isis s'interesse à d'autres pokemons. |
Colinette • depuis le tout début •
- Asrāh Falkenwald
- Messages : 487
Bienvenue chez toi <3
- Vali Nibelheim
- Messages : 247
Des fées ....
Bienvenue !
Bienvenue !
- Ohara Kazoku
- Messages : 133
FELICITATIONS TU ES VALIDE(e)
Et tout est bon ! Bienvenue à la fougueuse (et flippante) Isis !
Bien joué ! Ta fiche étant au top nous te validons immédiatement RANG B avec MYSDIBULE - RANG B en starter. Tu peux d'ores et déja aller poster partout sur le forum, mais voici quelques liens qui nous le pensons pourraient t'être utiles. Tout d'abord la T-CARD obligatoire dans la quelle n'oublie pas de te rajouter 5 pokeballs et 1 potion puis les fiches de liens. Par ici tu trouveras également un lien rapide vers les modération diverses et les les missions, gages et défis
Bien joué ! Ta fiche étant au top nous te validons immédiatement RANG B avec MYSDIBULE - RANG B en starter. Tu peux d'ores et déja aller poster partout sur le forum, mais voici quelques liens qui nous le pensons pourraient t'être utiles. Tout d'abord la T-CARD obligatoire dans la quelle n'oublie pas de te rajouter 5 pokeballs et 1 potion puis les fiches de liens. Par ici tu trouveras également un lien rapide vers les modération diverses et les les missions, gages et défis
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