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- Gurkan Heigerson
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Cela faisait des années que tu ne t'étais pas arrêté à Sharpton, tu ne te souvenais pas vraiment de la dernière fois où tu avais parcouru ses rues, respiré son air cendré, ça ne t'avais pas manqué. Et aujourd'hui encore ce n'était pas vraiment un enchantement que de venir ici et de poser tes yeux sur les environs, tu l'avais pourtant choisi, tu t'étais lancé ce défi, de venir t'installer aux pieds du volcan pour une après-midi, de trouver une fenêtre sur ce paysage que tu ne connaissais guère. Il devait lui aussi avoir sa beauté, ses mystères, le défi que tu t'étais donné était de découvrir cette beauté, ou du moins de tenté de t'en approcher.
Tu avais parcouru les rues de Sharpton durant plus d'une heure déjà, ton carnet à dessin rangé dans ton sac, le regard balayant les environs, cherchant le point de vue qui saurait retenir ton attention. Et tu l'avais peut-être trouvé finalement, tu n'en étais pas certain mais cette vue sur le volcan avait quelque chose de plus, la lumière, les environs, ça te plaisait, ou tout au moins tu te sentais suffisament inspiré pour essayer. Tu appréciais malgré tout la température, bien plus clémente ici qu'ailleurs sur Netovia, tu avais presque chaud avec ta veste d'hiver et tu hésitas un instant à juste t'installer là, à trouver un banc qui te permettrait de dessiner cet endroit. Un café attira finalement ton attention, il n'était pas idéalement orienté mais... oui ça irait. Et si l'on te regarda bizarrement quand tu demandas s'il était possible de t'installer en terasse, lorsque tu expliquas ton prijet un serveur t'aida finalement à sortir une table et une chaise, te laissant t'installer avant de te rapporter un grand mug de café dans un thermos. Un sourire, un bonne chance, et tu étais seul à nouveau, seul devant ce paysage et devant ton carnet à dessin, seul avec ton crayon en main. « A nous deux. » Une gorgée de café et tu fermas un instant les yeux, laissant l'ambiance des environs pénétrer tes sens, et quand tu les rouvris ton crayon se mit en mouvement, grisant peu à peu la page blanche devant toi.
Tu avais parcouru les rues de Sharpton durant plus d'une heure déjà, ton carnet à dessin rangé dans ton sac, le regard balayant les environs, cherchant le point de vue qui saurait retenir ton attention. Et tu l'avais peut-être trouvé finalement, tu n'en étais pas certain mais cette vue sur le volcan avait quelque chose de plus, la lumière, les environs, ça te plaisait, ou tout au moins tu te sentais suffisament inspiré pour essayer. Tu appréciais malgré tout la température, bien plus clémente ici qu'ailleurs sur Netovia, tu avais presque chaud avec ta veste d'hiver et tu hésitas un instant à juste t'installer là, à trouver un banc qui te permettrait de dessiner cet endroit. Un café attira finalement ton attention, il n'était pas idéalement orienté mais... oui ça irait. Et si l'on te regarda bizarrement quand tu demandas s'il était possible de t'installer en terasse, lorsque tu expliquas ton prijet un serveur t'aida finalement à sortir une table et une chaise, te laissant t'installer avant de te rapporter un grand mug de café dans un thermos. Un sourire, un bonne chance, et tu étais seul à nouveau, seul devant ce paysage et devant ton carnet à dessin, seul avec ton crayon en main. « A nous deux. » Une gorgée de café et tu fermas un instant les yeux, laissant l'ambiance des environs pénétrer tes sens, et quand tu les rouvris ton crayon se mit en mouvement, grisant peu à peu la page blanche devant toi.
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- Sygìn Vildísdòttir
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La patrouille a été épuisante aujourd’hui, et tu n’as qu’une seule hate c’est de rentrer dans la petite maison que tu habite en périphérie ouest de Sharpton, — tu as quitté la demeure familiale pour plus d’indépendance, de toute façon tes parents n’y sont jamais et tu as passé l’age des grandes soirées mondaines qu’ils tiennent quand ils y sont — et de t’installer sur ton grand canapé confortable, avec un livre, une couverture, et un bon thé, en face du feu de cheminé, échangeant quelques sms avec Skorri ou Edda. Goethe a tes cotés semble pressé lui aussi de retrouver un environnement plus chaleureux, bien que Sharpton ne soit clairement pas la ville la plus touchée par les climats glaciaux que l’Hiver Netovien peut emmener.
L’objectif est donc simple, t’arrêter dans un salon de thé que tu ne connais que trop bien pour commander quelques pâtisseries, et les ramener à la maison pour passer une des soirées les plus tranquilles de ton existence – comme la plupart de tes autres soirées d’ailleurs -. Mais tous les objectifs sont souvent contrés, et c’est finalement Goethe qui semble décider que tu as mieux à faire, alors que l’Evoli se met à courir en direction d’un garçon attablé seul sur la terrasse d’un café. Le spectacle est un peu étrange tu dois l’avouer, tu n’as aucune idée de pourquoi il n’y’a qu’une seule table, ni de ce qu’il est en train de faire, mais ce n’est pas de toi de venir ennuyer les gens.
Ainsi, alors que Goethe se frotte contre sa jambe, tu pousse un soupir triste, avant de t’avancer vers eux, et tu prends le visage le plus contrit dont tu disposes – excessivement contrit et sincère donc -. « Je suis terrible désolée il n’est pas du genre à venir ennuyer les gens de manière génerale, il est juste fatigué. » Un regard un peu triste de ta part, tu ne sais pas ce que Goethe a en ce moment, peut-être qu’il en a marre d’être seul, tu aurais du emmener Dahl en patrouille avec toi. Et puis tes yeux se posent sur ce que le jeune garçon est en train de dessiner, et sans réaliser tu murmure « C’est magnifique. C’est le Mont Dragolufj ? »
- Gurkan Heigerson
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Comme toujours lorsque tu dessines tu te laisses absorber par les lignes que tu traces, oubliant un peu tout ce qui t'entoure et qui ne rentre pas en compte dans ton dessin. C'est ainsi que tu as probablement vu cette fille arriver, passer dans ton champ de vision, mais tu as choisi de ne pas y prêter attention, elle n'a pas vocation à apparaître sur ton carnet et si tu te laisses distraire par chacun des passant tu n'y arriveras jamais. Pourtant, lorsque tu sens quelque chose venir se frotter contre ta jambe tu ne peux pas vraiment continuer à faire abstraction et c'est en clignant deux ou trois fois des paupières, réhabituant tes pupilles à une vision de près, que tu baisses les yeux en direction de l'évoli à la couleur inhabituelle, les remontant en direction de sa maîtresse lorsqu'elle s'excuse pour deux. « Il n'y a pas de mal. » Tu hoches la tête, lui offrant un sourire, l'évoli n'a pas l'air d'être le seul à être fatigué, tu es plutôt du genre observateur Gurkan et il y a quelque chose sur les traits de la jeune femme qui te fait dire qu'elle n'a pas eu une journée des plus aisée.
« Oh ? » Ton regard se tourne à nouveau vers ton carnet et ton sourire se fait un peu plus gêné peut-être, même si tu finis par froncer le sourcils. « Je vous remercie mais... pas vraiment. » Tu es loin d'être satisfait, tu ne sais pas si elle est sincère et trouve vraiment ton "œuvre exceptionnelle" ou si elle est juste polie mais tu ne peux décemment pas la laisser penser que ce qu'elle a sous les yeux est magnifique. « C'est bien le Mont Dragolufj oui. » Au moins l'a-t-elle reconnu, la question a tout l'air d'être rhétorique même si tu prends le temps d'y répondre avant de te saisir du thermos de café pour en avaler une nouvelle gorgée, quitte à être dérangé autant s'assurer que la pause soit utile. Et si tu remercies mentalement le serveur d'avoir été aussi prévenant avec toi pour que ton café ne refroidisse pas, tu t'en veux d'avoir oublié ce détail et c'est avec une grimace de douleur que tu reposes le thermos, ouvrant la bouche pour y faire rentrer de l'air frais et atténuer la sensation de brûlure que ta langue vient d'expérimenter. « Excusez-moi, c'est brûlant. » Tu dois avoir l'air parfaitement ridicule oui, mais tant pis, plutôt la voir se moquer que de rester avec ta langue en train de cramer.
« Oh ? » Ton regard se tourne à nouveau vers ton carnet et ton sourire se fait un peu plus gêné peut-être, même si tu finis par froncer le sourcils. « Je vous remercie mais... pas vraiment. » Tu es loin d'être satisfait, tu ne sais pas si elle est sincère et trouve vraiment ton "œuvre exceptionnelle" ou si elle est juste polie mais tu ne peux décemment pas la laisser penser que ce qu'elle a sous les yeux est magnifique. « C'est bien le Mont Dragolufj oui. » Au moins l'a-t-elle reconnu, la question a tout l'air d'être rhétorique même si tu prends le temps d'y répondre avant de te saisir du thermos de café pour en avaler une nouvelle gorgée, quitte à être dérangé autant s'assurer que la pause soit utile. Et si tu remercies mentalement le serveur d'avoir été aussi prévenant avec toi pour que ton café ne refroidisse pas, tu t'en veux d'avoir oublié ce détail et c'est avec une grimace de douleur que tu reposes le thermos, ouvrant la bouche pour y faire rentrer de l'air frais et atténuer la sensation de brûlure que ta langue vient d'expérimenter. « Excusez-moi, c'est brûlant. » Tu dois avoir l'air parfaitement ridicule oui, mais tant pis, plutôt la voir se moquer que de rester avec ta langue en train de cramer.
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- Sygìn Vildísdòttir
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Tu es tellement désolée que Goethe soit si câlin quand il est fatigué comme ça… Et tu ne sais pas vraiment si tu as la force de tenir une conversation maintenant. Forcément c’est toujours un peu compliqué après tout surtout quand tu es épuisée comme après cette longue patrouille qui t’a usé toute ton énergie. Tant pis. Ça ne t’empêchera pas d’être douce et gentille, parce que tu n’es pas capable d’être autre chose finalement. Et tu es sincère aussi, tu as toujours admiré les gens qui ont un talent, que ce soit pour la nourriture, la peinture, ou l’art en général. Toi tu joue du piano, ce n’est pas quelque chose qui s’exhibe et tout le monde ne peut pas t’ecouter, parce que tu n’invites pas grand monde chez toi. « Vous trouvez ? Je trouve ça très beau pourtant, on reconnait bien toutes les caracterisques du volcan, et la fumée qui s’en echappe. » Mais tu n’es pas une critique d’art Sygin, et tu t’appretes à partir pour ne pas le déranger davantage.
A part qu’il fait soudain une tête complètement ridicule, qui te fait sourire — pas méchament ou de manière mesquine, tu es juste gentiment amusée. Il est mignon comme ça. Et tu te dis encore qu’il a l’air vraiment gentil, et un peu guère doué pour les relations humaines, comme toi quoi. « Ne vous en faites pas ! Je peux aller vous chercher un verre d’eau fraiche si vous voulez ? » Toujours serviable Sygin, tu ne changeras pas. Et pendant ce temps Goethe le regarde en lui demandant « EVOOOOO ?? » Comme si il pouvait faire quelque chose lui aussi ? C’est peut-être le cas ? Peut-être qu’il peut vraiment aider ? Après tout, un calin, ça aide quand on a bobo quelque part n’est ce pas ?
- Gurkan Heigerson
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Tu n'as pas voulu te montrer trop familier même si c'est bel et bien l'évoli qui est venu vers toi et tu t'es gardé de descendre une main dans sa direction pour la poser sur sa fourrure. Il insiste néanmoins, continuant à se frotter contre ta jambe et il finit par avoir raison de ta réserve initiale, il semble vouloir un câlin après tout, tu ne le forces à rien, et tu supposes que s'il agi comme cela ce n'est pas pour ensuite te croquer les doigts. Et donc tu passes délicatement la pulpe de tes doigts sur le haut de son crane, entre les deux oreilles qu'il a dressé, l'une dans ta direction, l'autre vers sa dresseuse, alors que celle-ci s'extasie justement sur tes talents. « Et bien oui mais il manque... de vie ? » Ton regard se pose un instant sur le modèle avant de revenir en direction de ton carnet et tu hausses finalement les épaules et reposant tes prunelles sur la jeune femme. « Je le trouve fade et inanimé... et vous devez penser que je suis un incurable perfectionniste insatisfait » Un sourire, c'est peut-être ce que tu es parfois, elle ne te fera pas changé d'avis quoi qu'il en soit. « Mais merci. » Parce que ça fait toujours plaisir de recevoir des compliments, d'autant plus venant d'une inconnue qui à priori ne te doit absolument rien et est donc sans doute à peu près sincère dans ses paroles.
« Non, non, ça va aller. » Ce n'est pas ce que dit ton visage qui a prit une teinte rouge qui ne peut absolument pas passer pour naturelle. « Ne vous embêtez pas, je suis stupide. » Ca ton visage le dit probablement alors que tu salives abondamment pour tenter de refroidir encore un peu ta langue meurtrie. Elle n'a peut-être pas tord cela dit, et si tu ne veux pas qu'elle aille te chercher ce verre d'eau peut-être devrais-tu malgré tout y aller toi-même, ça semble une plutôt bonne idée. « Il est adorable ! » Tu inquiètes tout le monde avec tes idioties, même le charmant petit évoli semble vouloir te venir en aide. « Comment tu t'appelles ? » Une nouvelle fois tu laisses tes doigts glisser vers le pokémon, plongeant ton regard vers le sien. « Tu as une bien belle couleur en tout cas. » La nature fait parfois bien les choses dans ses bizarreries.
« Non, non, ça va aller. » Ce n'est pas ce que dit ton visage qui a prit une teinte rouge qui ne peut absolument pas passer pour naturelle. « Ne vous embêtez pas, je suis stupide. » Ca ton visage le dit probablement alors que tu salives abondamment pour tenter de refroidir encore un peu ta langue meurtrie. Elle n'a peut-être pas tord cela dit, et si tu ne veux pas qu'elle aille te chercher ce verre d'eau peut-être devrais-tu malgré tout y aller toi-même, ça semble une plutôt bonne idée. « Il est adorable ! » Tu inquiètes tout le monde avec tes idioties, même le charmant petit évoli semble vouloir te venir en aide. « Comment tu t'appelles ? » Une nouvelle fois tu laisses tes doigts glisser vers le pokémon, plongeant ton regard vers le sien. « Tu as une bien belle couleur en tout cas. » La nature fait parfois bien les choses dans ses bizarreries.
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- Sygìn Vildísdòttir
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Goethe n’est pas le plus sociable des pokemons, mais il semble vouloir une caresse de ce garçon aux cheveux blancs, comme si il lui inspirait beaucoup de confiance. C’est peut-être ça en réalité. Peut-être que c’est le coté artiste qui le séduit, ou tout simplement Goethe est fatigué et veut être le centre de l’attention. Enfin, il a une caresse sur le haut du crane, et toi tu te concentres sur l’œuvre à la quelle s’adonne le garçon. « Je n’oserais pas penser cela, cependant la plupart des artistes sont des perfectionnistes, sans quoi leurs œuvres ne seraient pas les chefs d’œuvres que nous connaissons. Peut-être vous manque t’il le coup de crayon qui changera tout, ou peut-être que demain si vous vous y repenchez vous le verrez plus vivant que jamais. Je ne suis pas vraiment artiste, je ne voudrais pas dire de bétise. » Tu rougis énormément, tu as trop parlé mais c’est comme ça Sygin, tu as tendance à t’ouvrir immédiatement, et à donner quelques conseils, ou à parler sans encombre. Toujours avec sincerité. « De rien en tout cas, c’est sincère » Tu souris toujours doucement.
Mais très vite des soucis arrivent, et il manque de mourir en buvant son thé et tu te sens coupable. Tu l’as perturbé en lui parlant ? Oh non, il est mignon, enfin dans le sens où il est tout gentil, tu t’en veux immediatement. Tu t’en voudrais aussi si c’était le pire des connards cela dit parce que tu es comme ça Sygìn, on ne te refera pas. « Ca ne me derange pas, attendez. » Alors déjà tu te mets à courir pour aller chercher un verre d’eau, tant pis si il t’engueule plus tard, c’est quand même pour son bien à lui.
Et déjà après avoir vite fait parlé aux tenanciers que tu connais vaguement, tu reviens avec un verre que tu pose devant lui, au moment où il parle à Goethe. « Oui, il s’appelle Goethe. Je l’ai rencontré à quelques centaines de metres d’ici quand j’étais enfant. On ne s’est pas quitté depuis. Vous avez un pokemon vous aussi ? »
- Gurkan Heigerson
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Tu pourrais probablement débattre des heures du pourquoi tu n'es pas satisfait par ce dessin qu'elle a sous les yeux, mais tu tentes d'aller au plus simple, sans trop t'épendre, mais elle n'abandonne pas néanmoins et ça te fait sourire un peu de voir qu'elle essaye de, te rassurer ? Tu ne sais pas trop, mais c'est appréciable en tout cas, tu sens qu'elle veut juste être sympathique, qu'elle est juste sympathique, et c'est assez naturel en fait de parler avec elle, quand bien même tu ne l'as connaît absolument pas. « J'ai toujours eu du mal à dessiner ce genre de paysages, je suis plus familier des paysages enneigés, je préfère, je m'y sens plus à l'aise, je m'y retrouve davantage. » Tu hausses les épaules, t'arrêtant un instant avant de finalement poursuivre. « C'était un peu un défi de venir ici aujourd'hui, ça faisait un moment que j'y pensais, je voulais donner une seconde chance à cet endroit mais... vraiment je crois que ce n'est pas fait pour moi. » Tant pis ? Est-ce véritablement grave au fond ? Pour ton égo sans doute un peu, et tu sais que même si tu finis par abdiquer ce ne sera que pour mieux revenir plus tard. Un jour tu réussiras à capter la beauté de cet endroit, ou peut-être est-ce finalement que tu ne la vois pas ?
Tu ne sais pas et le café brûlant t'empêche de te poser davantage de questions pour le moment. Tu te brûles, tu t'agites, tu fait paniquer tout le monde et tu t'en veux. Tu dois avoir l'air ridicule comme ça et si tu tentes de retenir la jeune femme c'est peine perdue, déjà elle fonce à l'intérieur du café alors que tu restes attablé, clairement gêné par ce qui vient de se passer. « Il ne fallait pas... vraiment... » Tu marmonnes un peu, te saisissant du verre malgré tout, un verre d'eau n'a jamais été aussi tentant. « Merci. » Tu le vides pratiquement d'un trait avant de reporter ton attention sur l'évoli avec qui tu avais commencé à discuter avant qu'elle ne revienne avec ce verre salvateur pour ton palais. « Enchanté Goethe, tu es un bien bel évoli. » Tu ne rajouteras pas que sa maîtresse aussi même si ça te trotte un instant dans la tête. « J'ai un Monorpale oui. » Tu hoches la tête, attrapant la pokéball de Ridari pour le libérer et le présenter. « Je vous présente Riddari. Et moi c'est Gurkan. » Un doux sourire, alors que tu lui donnes ton nom sans savoir si elle en a vraiment quelque chose à faire. « Vous vivez par ici ? » C'est plus ou moins ce qu'elle a dit non ? « Oh heu... est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire ? A l'intérieur ? » Tu viens de constater que depuis tout ce temps tu es assis alors qu'elle est debout à côté de la table et que puisque tout a été installé juste pour toi elle ne peut même pas s'assoir face à toi.
Tu ne sais pas et le café brûlant t'empêche de te poser davantage de questions pour le moment. Tu te brûles, tu t'agites, tu fait paniquer tout le monde et tu t'en veux. Tu dois avoir l'air ridicule comme ça et si tu tentes de retenir la jeune femme c'est peine perdue, déjà elle fonce à l'intérieur du café alors que tu restes attablé, clairement gêné par ce qui vient de se passer. « Il ne fallait pas... vraiment... » Tu marmonnes un peu, te saisissant du verre malgré tout, un verre d'eau n'a jamais été aussi tentant. « Merci. » Tu le vides pratiquement d'un trait avant de reporter ton attention sur l'évoli avec qui tu avais commencé à discuter avant qu'elle ne revienne avec ce verre salvateur pour ton palais. « Enchanté Goethe, tu es un bien bel évoli. » Tu ne rajouteras pas que sa maîtresse aussi même si ça te trotte un instant dans la tête. « J'ai un Monorpale oui. » Tu hoches la tête, attrapant la pokéball de Ridari pour le libérer et le présenter. « Je vous présente Riddari. Et moi c'est Gurkan. » Un doux sourire, alors que tu lui donnes ton nom sans savoir si elle en a vraiment quelque chose à faire. « Vous vivez par ici ? » C'est plus ou moins ce qu'elle a dit non ? « Oh heu... est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire ? A l'intérieur ? » Tu viens de constater que depuis tout ce temps tu es assis alors qu'elle est debout à côté de la table et que puisque tout a été installé juste pour toi elle ne peut même pas s'assoir face à toi.
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- Sygìn Vildísdòttir
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« Oh ? Oui je suppose que l’on a chacun son style. » C’est un peu comme quand il t’arrive de jouer du piano, il y’a des morceaux que tu n’arrives pas à jouer même si tu les admires, quand ils sont hors d’une certaine zone de confort, « Mais je trouve ça tellement admirable d’essayer quand même. Est-ce que tu pourrais me montrer tes dessins de paysages enneigés ? Enfin si tu les as avec toi, et si ce n’est pas trop indiscret ? » Tes joues sont rouges Sygìn, et le pire dans tout ça c’est que tu ne te controles carrement pas. Tu es juste… gentille ? Oui c’est comme ça. Et intéressée, et curieuse de tout.
Enfin, avant toute chose tu lui ramene un verre d’eau à toute allure. Capacité à vouloir aider tout le monde tout le temps. On ne te changera pas. Des remerciements sont offerts et tu hoches la tête, murmurant un simple « C’est normal. » alors que la conversation change par chance. Tes joues sont un peu roses, et Goethe est fier du compliment, se mettant à dire « Vooooo Vooooo » d’un ton enjoué ! Les presentations continuent en tout cas, et tu hoches la tête doucement. « Enchantée Riddari, tu es magnifique toi aussi. » Certains n’aiment pas la beauté des Monorpale, les trouvant étranges, mais toi tu les trouves fascinants. Ce n’est pas parce que tu aimes les pokemons principalement mignons, que tu ne sais pas apprecier les autres. « Et enchantée également Gurkan, moi c’est Sygìn ! » Ton sourire reste doux, et tu es extatique à l’idée de faire une nouvelle rencontre, comme toujours.
« Je vis ici oui, enfin dans les alentours de la ville. J’y ai même grandi, alors je suppose que c’est pour ça que je vois davantage la beauté du Mont, il a toujours fait partie du paysage pour moi ! » T’es tellement ingenue quelques fois Sygìn, tellement candide quand tu parles comme ça. La proposition est agréable en tout cas et tu approuves. « Oh, ça serait avec plaisir, mais … je ne veux pas vous déranger non plus. » Tu ne veux pas t’imposer, c’est maladif chez toi, de ne pas vouloir gener.
- Gurkan Heigerson
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Elle comprend finalement et tu hoches la tête pour approuver sa conclusion. C'est un peu ça oui, chacun son style, chacun sa sensibilité, c'est ainsi et c'est ce qui fait la beauté de l'art sans doute, cette manière qu'à chacun de l'exprimer. Tu ne t'attendais pas à la suite toutefois et ça te prend un peu de court, ça te fait un peu bégayer, même si c'est un grand sourire finalement qui illumine tes traits. « Oui, bien sûr, si tu veux. Avec plaisir en fait ! J'en ai forcément quelques-uns dans mon carnet. » T'es touché en vérité, et si tu ne ressens pas forcément l'envie d'exposer tes œuvres ou quoi que ce soit... ça reste quand même un peu ton métier, de faire profiter les autres de ce que tu crées, même si ce n'est pas sur du papier.
Mais t'as pas vraiment le temps de tourner les pages de ton carnet pour lui montrer, t'as fait l'erreur d'attraper ton café et t'es en train d'hyper-ventilé pour essayer d'atténuer la brûlure de la boisson sur ton palais. Elle te sauve en t'offrant un verre d'eau et alors que tu reprends un peu pied tu en profites pour te présenter enfin comme il se doit, faisant également venir Riddari pour le présenter, à Sygìn donc et à ce magnifique évoli. « Merci pour lui. » Tu hoches la tête, heureux pour ton pokémon, tu sais que ça le touche ce genre de compliments, il n'en a pas souvent, et c'est d'autant plus vrai que tu sens qu'il est sincère. « Les gens ne sont pas toujours de cet avis... » Tu sais que ce n'est pas toujours simple pour Riddari et que s'il a pris l'habitude des regards ils n'en restent pas moins parfois blessants et que tes mots ne sont pas toujours suffisants.
« Sûrement, il n'y a pas d'endroits que je dessine mieux que ceux dans lesquels j'ai vécu. » Tu lui souris une nouvelle fois en retour. « J'imagines que c'est parce qu'ils sont chargés de souvenirs et qu'on les connais par cœur, qu'on les a vu évoluer au fil des saisons. » Et tu aurais pu te perdre dans tes pensées facilement si tu n'avais pas brusquement réalisé la situation dans laquelle vous étiez. « Non, bien sûr que non ! » Tu hoches la tête, debout déjà, lui ouvrant la voie vers l'intérieur de l'établissement. « Je pourrais vous montrer ces paysages enneigés dont on a parlé. » Même si le café brûlant vous a un peu interrompu tout n'est pas perdu.
Mais t'as pas vraiment le temps de tourner les pages de ton carnet pour lui montrer, t'as fait l'erreur d'attraper ton café et t'es en train d'hyper-ventilé pour essayer d'atténuer la brûlure de la boisson sur ton palais. Elle te sauve en t'offrant un verre d'eau et alors que tu reprends un peu pied tu en profites pour te présenter enfin comme il se doit, faisant également venir Riddari pour le présenter, à Sygìn donc et à ce magnifique évoli. « Merci pour lui. » Tu hoches la tête, heureux pour ton pokémon, tu sais que ça le touche ce genre de compliments, il n'en a pas souvent, et c'est d'autant plus vrai que tu sens qu'il est sincère. « Les gens ne sont pas toujours de cet avis... » Tu sais que ce n'est pas toujours simple pour Riddari et que s'il a pris l'habitude des regards ils n'en restent pas moins parfois blessants et que tes mots ne sont pas toujours suffisants.
« Sûrement, il n'y a pas d'endroits que je dessine mieux que ceux dans lesquels j'ai vécu. » Tu lui souris une nouvelle fois en retour. « J'imagines que c'est parce qu'ils sont chargés de souvenirs et qu'on les connais par cœur, qu'on les a vu évoluer au fil des saisons. » Et tu aurais pu te perdre dans tes pensées facilement si tu n'avais pas brusquement réalisé la situation dans laquelle vous étiez. « Non, bien sûr que non ! » Tu hoches la tête, debout déjà, lui ouvrant la voie vers l'intérieur de l'établissement. « Je pourrais vous montrer ces paysages enneigés dont on a parlé. » Même si le café brûlant vous a un peu interrompu tout n'est pas perdu.
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- Sygìn Vildísdòttir
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Tu as cette propension à être une particulierement bonne personne Sygin, mais surtout tu es de ces personnes qui s’extasient de tout. Tu es une femme que l’on peut aisement satisfaire et tu aimes apporter bonheure et sourire dans la vie d’autrui. Alors oui, c’est tout naturel pour toi de vouloir en voir plus sur les talents de ce garçon qui doit avoir ton age ou dans les environs. Jeune homme, un rien plus vieux que toi, tu ne sais pas vraiment. Tu t’enchantes de pouvoir voir d’autres de ses œuvres d’arts, car pour toi chaque création en est une, une œuvre, quelque chose qu’il est bon d’admirer. Mais si il accepte, ce n’est néanmoins pas pour tout de suite, car il se brule avec son café et tu fais de ton mieux pour eviter qu’il ne meure comme ça au milieu de Sharpton, ça te rendrait enormement triste, tu dois l’avouer. Alors tu l’aides un peu, et les presentations se font entre vous et vos pokemons. Compliments sur la beauté de ceux-ci, tu admires le monorpale un moment. Et tu ne peux t’empêcher de ressentir une vague de tristesse à l’evocation de ce qu’il dit. « Oui, je peux le comprendre, les gens sont particulièrement mal à l’aise avec les spectres, malheureusement. » Et tu te mords un peu la langue, mais tu rajoutes tout de même. « Ils sont mal à l’aise avec ce qu’ils ne comprennent pas aussi. » Malheureusement vous n’etes pas la pour tracer un procés de l’humanité, il serait long et dommage de le faire.
Enfin, il insiste vraiment un peu pour que tu vienne partager une boisson avec lui, et tu ne peux refuser. C’est agréable au fond, et tu as cette capacité a te faire facilement des amis, parce que tu es une fille bien. Probablement. Du moins c’est ce que tu aimes penser de toi. Tu n’es pas une mauvaise personne ça c’est sur. « Je n’ai pas de mal à en douter, je serais ravie de voir tous ces paysages oui. » Et tes joues prennent une teinte doucement rosacée alors que tu le suis vers l’intérieur du café. « Tu Vous avez grandi vers Frimaria alors ? » La question semble legitime, et pas trop … indiscrete. Juste de la curiosité saine.
- Gurkan Heigerson
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Ce n’était pas ton intention de rendre l’atmosphère pesante, ou de mettre sur la table un débat qui n’a rien d’agréable, mais tu n’as pas vraiment pu t’empêcher de la remercier sincèrement pour ses mots à Riddari, et d’en rajouter un peu pour qu’elle comprenne à quel point c’était plaisant à entendre pour lui, et pour toi. Les spectres ont rarement une bonne aura et tu dois bien admettre qu’en ce qui te concerne un Fantominus ne retiendra pas vraiment ton attention… Mais Riddari est différent, votre rencontre particulière. Le Monorpale est venu à toi au moment où tu en avais le plus besoin et peu importe son type tu l’as toujours vu comme le symbole de ce combat à mener pour faire de ta vie quelque chose en quoi tu croirais. « Oui, c’est souvent le cas. » Tu n’es pas forcément le mieux placé pour parlé, tu es souvent mal à l’aise toi-même, pour tout un tas de raisons, tu n’aimes pas vraiment le bruit et la foule, les inconnus, même si étrangement tout semble assez facile avec cette jeune femme que tu n’avais jusqu’alors jamais vu.
Vous rentrez finalement, trouvant une table libre dans le café où vous installer et tu poses ton carnet sur la table, tournant les pages pour revenir un peu en arrière. Sa question te fait esquisser un sourire amusé et tu tournes encore quelques pages finalement, s'arrêtant sur la vue que t'offre une fenêtre de la maison de ta grand-mère. « Pas vraiment en fait. Je suis né dans les Northerres. » Tu tournes le carnet dans sa direction pour qu’elle puisse voir cet endroit où tu as vu le jour. Sur le dessin un éclair barre le ciel et les couleurs sont celles d’un orage d’été, le jaune des blés se détachant sur un ciel d’un bleu profond, strillé d’électricité. « J’y ai vécu quelques années avant de partir pour Smokebay, puis plus tard pour Galar. » A mesure que tu parles tu tournes les pages face à elle, retraçant un peu ta vie. Les dessins sont récents, et il n’y a rien qui concerne Smokebay, ce n’est pas une ville que tu aimes particulièrement dessiner.
C’est finalement un glacier qui apparaît, représenté sous une pâle lumière bleutée. Celui de Vivegal, une vue non loin du temple, mais tu te dis qu’elle ne reconnaîtra probablement pas l’endroit. « Je n’ai jamais vécu à Frimaria mais j’y suis allé plusieurs fois, dans les glaciers aussi. Dessiner les doigts gelés n’est pas vraiment pratique alors souvent je prends des photos, ou je dessine de mémoire une fois de retour au chaud… ce n’est pas toujours représentatif de la réalité mais ça n’importe pas tant que ça finalement. C’est la sensation qui compte, et c’est celle qui se dégage de ces lieux que je préfère, le calme, la solitude, l’impression que rien n’est venu et ne viendra jamais troubler ces lieux... » Il y a un petit sourire qui passe sur ton visage alors que tu te tais finalement, laissant passer quelques secondes. « Tu peux feuilleter. » Tu n’as rien à cacher, et si elle apprécie tes dessins et croquis tu en es ravi.
Vous rentrez finalement, trouvant une table libre dans le café où vous installer et tu poses ton carnet sur la table, tournant les pages pour revenir un peu en arrière. Sa question te fait esquisser un sourire amusé et tu tournes encore quelques pages finalement, s'arrêtant sur la vue que t'offre une fenêtre de la maison de ta grand-mère. « Pas vraiment en fait. Je suis né dans les Northerres. » Tu tournes le carnet dans sa direction pour qu’elle puisse voir cet endroit où tu as vu le jour. Sur le dessin un éclair barre le ciel et les couleurs sont celles d’un orage d’été, le jaune des blés se détachant sur un ciel d’un bleu profond, strillé d’électricité. « J’y ai vécu quelques années avant de partir pour Smokebay, puis plus tard pour Galar. » A mesure que tu parles tu tournes les pages face à elle, retraçant un peu ta vie. Les dessins sont récents, et il n’y a rien qui concerne Smokebay, ce n’est pas une ville que tu aimes particulièrement dessiner.
C’est finalement un glacier qui apparaît, représenté sous une pâle lumière bleutée. Celui de Vivegal, une vue non loin du temple, mais tu te dis qu’elle ne reconnaîtra probablement pas l’endroit. « Je n’ai jamais vécu à Frimaria mais j’y suis allé plusieurs fois, dans les glaciers aussi. Dessiner les doigts gelés n’est pas vraiment pratique alors souvent je prends des photos, ou je dessine de mémoire une fois de retour au chaud… ce n’est pas toujours représentatif de la réalité mais ça n’importe pas tant que ça finalement. C’est la sensation qui compte, et c’est celle qui se dégage de ces lieux que je préfère, le calme, la solitude, l’impression que rien n’est venu et ne viendra jamais troubler ces lieux... » Il y a un petit sourire qui passe sur ton visage alors que tu te tais finalement, laissant passer quelques secondes. « Tu peux feuilleter. » Tu n’as rien à cacher, et si elle apprécie tes dessins et croquis tu en es ravi.
| INFOS // Riddari est dans sa pokéball |
- Sygìn Vildísdòttir
- Messages : 293
DRAW THE WORLD
Il semble adorable, c’est la premiere idée qui traverse ton esprit alors que vous rentrez vous installer à l’interieur du café, pour partager une boisson chaude et une grande conversation. Il y’a des questions, une réponse, et alors qu’il te montre des dessins magnifiques dans son carnet tu ne peux t’empecher de sourire, d’admirer tout cet art et ces pans d’histoire, ces pans de vie qu’il t’offre. C’est magnifique. Magique. C’est un moment que tu garderas pour toujours dans ta tête. Et tu n’es pas simplement une joueuse muette dans une piece où tu es actrice, tu réponds toi aussi. « Je suis allée à Northera l’autre jour, la ville est fabuleuse, bien qu’un peu effrayante. Les bruits forts des tonnerres, ne sont pas ceux que je prefere. » Tu aimes le calme toi, tu aimes les moments doux, et de quiétude sans fin, boire un thé avec des petits gateaux, le bonheur.
La serveuse arrive, tu passes ta commande, tes yeux se rivant à nouveau sur les pages, alors que tu admire les paysages de Galar. « Je n’y suis jamais allée. » Tu aimerais, un jour peut être. Tu es allée a Kalos avec tes parents, a Alola aussi, mais jamais à Galar et c’est quelque chose qui te manque peut être un peu. Les mots continuent d’affluer, tu parles de Frimaria, des glaciers. « Je comprends tellement. Les glaciers sont les meilleurs endroits au monde pour ceux qui cherchent du calme. Frimaria elle même est bien trop animée, mais le Cap au Nord est encore assez sauvage, malgré l’affluence de touristes à cause de l’arrivée de la Ligue. » Tu sais de quoi tu parles, tu connais quelqu’un qui vit la bas. Plusieurs personnes en verité.
Feuilletant son carnet tu admires les paysages splendides et tu souris finalement un peu plus. « Sharpton doit te changer, les paysages sont plus arides, les formes plus dures, que le sont les glaciers. Je suis née ici moi, et j’y ai grandi. Mais je parcours Netovia pour mon travail maintenant. Je ne sais pas si tu as eu l’occasion d’aller dans la Forêt des Legendes, mais c’est un endroit magnifique aussi, et vraiment calme. Sauf quand des dedennes decident de voler les touristes en bande organisée. » Petite anecdote du travail en attendant le thé chaud.
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