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  • L’île de Netovia a depuis longtemps été eloignée des conflits et compétitions qui avaient lieu dans le monde entier et alors que des pays et des royaumes comme Unys, Kalos, ou même les îles d’Alola rejoignaient les rangs des regions dont les ligues brillaient dans le monde, et dont les combats pokemons étaient suivis partout à la télé, à la radio et sur l’internet, Netovia demeurait tranquille avec ses eleveurs, son Empire et sa spiritualité. Depuis quelques années néanmoins les choses changent, et Netovia tend de plus en plus à apparaitre sur la scène mondiale des compétitions pokémons. L’inauguration d’une Ligue Pokemon Netovienne il y’a quatre ans maintenant ne s’est cependant pas fait sans heurt et alors que des attentats sont de plus en plus fréquents, des soupçons se portent sans fondement sur ceux qui se font appeler la Team Boreal. Aujourd’hui, alors que l’Empereur Galiak Ingverson s’apprete à rouvrir l’arene de Smokebay détruite il y’a trois mois lors d’une attaque de pokemons glaces, nous sommes en droit de nous demander si la sécurité est suffisante, et si les prétendus activistes montreront le bout de leurs ponyta. Les forces militaires et rangers pokemons se partagent le quadrillage des rues, mais les civils ne semblent pas derangés, la foule déjà s’amasse devant les portes de la réputée arène dont le bâtiment remis à neuf s’eleve avec une vue sur le port imprenable. On peut déja voir parmi les badauds des membres de la ligue, des champions du conseil des quatre et des dresseurs de tout horizon. Ce jour de liesse sera t’il brisé par un nouvel attentat ? Restez connectés sur La Chaine d’Information Netovienne numero 3 pour notre live exclussif avec Frederico Ronflex aux commandes.
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    Asrāh Falkenwald
    Asrāh Falkenwald
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    Sujet : ft. ohara — i promise you'll never find another like me

    rédigé le Mar 1 Déc - 19:51

    Her life was a tissue of vanity and deceit. v.woolf.

    retour.

    L’Absol blessé est désormais entre les mains de l’une des infirmières de garde de la tour que tu as réveillée de manière on ne peut plus directe il y’a quelques minutes. Et c’est après avoir bu deux grands verres d’eau que tu t’es enfin décidée a aller dans les étages la où se situent vos chambres. Secret oblige — et tu grogne physiquement en pensant à cette sordide qui implique que vous viviez votre romance en secret, tu n’es plus une adolescente — vous ne partagez pas la même, toi et Ohara, et pourtant c’est vers la sienne que tu te rends. L’après midi a été chargé et tu veux juste t’effondrer sur un lit, après une douche, mais voir Ohara, et eventuellement lui expliquer pourquoi tu n’as plus repondu à aucun message peut-être une bonne idée ? Même si bien sur, il y’a cette hypothèse qu’elle se soit déjà endormie. Ce qui serait totalement probable venant d’elle.

    « O ?» Tu frappes à la porte une fois, et puis sans attendre de réponse tu rentres, précédée par Nidhogg qui tourne ses têtes à la recherche d’Ato. Il a eu une longue journée lui aussi, il a tellement de choses à raconter. Toi, tu ferme doucement et discretement la porte derrière toi — parce que même si ça te dégoutes ce secret, tu ne veux pas faire de mal à O’ — avant de la chercher du regard. La télé est allumée sur une espèce de film dont les paroles ont l’air complètement nian nian, et une fille parle d’amour d’une manière qui te fait grimacer un peu.  

    Pas d’Ohara en vue ? Tu tournes autour du canapé, esperant la trouver dessus, et esperant qu’elle s’est vraiment endormie, parce que personne ne regarderait ça non ?
    Ohara • Novembre, aprés les captures dans les steppes.
    Ohara Kazoku
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    I PROMISE YOU'LL NEVER FIND ANOTHER LIKE ME
    Ft • Asräh  
    Un nouveau week-end à la tour, sans que vous ayez eu à affronter de nouveau challenger pour cette première journée passée ici. Alors vous vous étiez occupés un peu chacun à votre façon, t'avais embêté Skorri, posé des tonnes de questions à Karl, mais t'avais pas tant vu Asräh. T'étais déçue évidemment, même si tu es habituée à ce qu'elle disparaisse soudainement comme ça à l'improviste. Puis de toute façon c'était bien mieux ainsi, trop de temps passé ensemble pourrait faire naître un peu trop de questions intimes chez les gens.

    Alors une fois l'après-midi passée, t'es allée te terrer dans ta chambre après avoir avalé une collation en compagnie des autres. T'as geek, un peu, beaucoup en fait, jusqu'à tard dans la nuit. Mais malgré ce temps passé si vite, t'as toujours pas une de nouvelle de ta copine secrète. Alors tu bougonnes un peu, te demandant si elle a pas décidé de te faire la gueule pour x raison encore, et de ne pas te donner signe de vie jusqu'au lendemain. Tu préférerais toutefois que ce soit ça et non qu'il lui soit arrivé quelque chose de grave. Boréal ? Non ce n'est pas possible, tu refuses d'entrevoir cette hypothèse.

    Alors t'as trouvé un moyen de t'occuper l'esprit. Profitant de l'absence de la diva, t'as lancé un film romantique. C'est bien un des secrets que tu refuses que même Asräh soit au courant, il manquerait plus qu'elle se moque de toi en te voyant pleurer devant une scène un peu trop sentimentale et fleur bleue. T'étais à la moitié du film, et en plein scène romantique quand t'as entendu la porte s'ouvrir lentement. Panique totale, t'as même pas cherché à réfléchir et tu t'es laissée rouler jusqu'au bord opposé à la porte, te laissant lourdement tomber par terre, enroulée dans un plaid. « Mmpf. » T'as du mal à retenir ta grimace de douleur sous le choc qui t'a lancé une décharge dans l'épaule. Il est hors de question qu'Asräh remarque ta présence, alors tu comptes bien rester silencieuse jusqu'à ce qu'elle parte.


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    retour.

    Si tu ne vois pas ta compagne sur le canapé tu as néanmoins entendu le bruit de quelqu’un qui se heurte, probablement en tombant sur le sol, et tu secoues la tête négativement. Un peu déçue qu’une fois de plus elle essaye de te fuir. Ou du moins, peut-être ne l’es tu qu’en apparence, car tu trouves tout ce qu’Ohara fait particulièrement attachant — tu ne diras plus ça dans quelques jours, quand vous devrez aller à une reunion - banquet de la ligue, mais vous n’y etes pas encore. Ton regard dégouté quitte l’écran et la scene pathétique qui y est diffusée et tu continues de marcher autour du canapé. « J’aurais juré qu’Ohara Kazoku était plus digne qu’un nem de couvertures. » Le sourire revient finalement à tes lèvres tandis que Nidhogg lui s’est déjà installé sur le lit, epuisé par sa journée.

    « Hmm ~ » Un peu plus amusée que pendant les minutes precedents, tu choisis de pousser le tas de tissu du bout du pieds avant de t’acroupir à coté de la masse informe. « Autant en sortir désormais. Je pense que je viens de découvrir ton pire petit secret. Peut-être que je devrais prendre une vidéo de ce que tu regardes et l’envoyer sur le group chat où vous vous amusez tant. » Toujours un peu de provocation, mais tu ne controles pas cette envie de la taquiner qui te prend sans cesse.

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    Ft • Asräh  
    Alors oui tu as été inquiète tout l'après-midi de ne pas avoir de réponse de sa part, et oui tu aurais été très contente de la voir. Mais là non, elle tombe dans le pire moment où t'es en train de regarder un de ces films à l'eau de rose que tu apprécies tant regarder en cachette. Pourquoi fallait-elle qu'elle arrive aussi tard ? T'as presque envie de bouder sur le moment, mais t'es plus en panique autre chose actuellement. Surtout que tout aussi peu douée que la veille, t'as encore réussi à te faire mal. « Oui bah le nem il s'est fait mal. » Ca y est, tu te mets à chouiner un peu comme une enfant alors que tu restes applatie ventre contre sol enroulée dans ce fichu plaid. T'as fini par répondre parce que de toute façon tu étais cramée, malgré toi.

    Tu sens qu'un pied te pousse délicatement et tu marmonnes un peu à son attention avant de commencer à te remettre assise, toujours saucissonnée parce que c'est trop dur pour toi t'arrives plus à savoir où sont passés tes bras. En tout cas elle te taquine sur ton programme vidéo du soir, et tu lui lances un regard carrément horrifié paniqué. « Fais ça et je t'affiche en même temps avec une photo où t'as un masque de concombre. » Tu lui tires la langue avant de détourner la tête d'elle pour pas confronter son regard. Puis du toute façon tu lui fais la gueule parce qu'elle t'a pas répondu à tes messages de l'après-midi, et que si c'était elle elle te gueulerait déjà dessus. Non mais.


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    taquineries


    Malgré la journée qui a été on ne peut plus tendue, tu retrouves un semblant de sourire et de bonne humeur grace à Ohara. Elle ne fait pas grand-chose pourtant, mais sa simple présence et sa façon d’être te suffit. « Le nem a-t-il besoin d’un baiser magique de la part d’une Reine ? » Tu ne peux pas t’en empêcher, et même si l’envie de la taquiner est très forte, il y’a quand même cette inquiètude que tu ressens pour elle. Le fait est, elle a beau être maladroite, vouloir vous cacher, et être la pire casse coup qui existe, elle fait vibrer quelque chose dans ton cœur de diva, et même si souvent elle t’exaspère, tu passes tout ton temps à t’inquieter pour elle.

    Son regard paniqué à ta menace te fait rire, et tu arques un sourcil à ce qu’elle dit ensuite. « Ouuuh, répondre à la menace par la menace mademoiselle Kazoku ? Je vois que je déteins sur toi. » Tu ne peux pas t’empêcher de sourire à la façon dont elle te tire la langue, et finalement, tu t’agenouilles sur le sol pour être à sa hauteur. « Mais nous savons toutes les deux que tu n’oserais pas. » C’est un souffle contre sa tête, alors que tu ébouriffe amoureusement ses cheveux.

    « Viens, je vais t’aider. Tu t’es fais mal où ? » Ta voix reste douce, mais avant toute chose, tu attrapes la telecomande pour eteindre cet immonde programme télé. « Ensuite, nous parlerons de tes choix pitoyable en matière télévisuelle. Puis je te raconterais ma fin de journée, si ça t’interesse. » Parce que tu avais quand même disparu, et tu la soupçonne de s’être inquietée. Peut-être. Enfin, tu espères quand même, qu’elle n’a pas passé l’après midi à regarder des romances et a manger des ramens… La connaissant, elle en serait tellement capable.

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    Difficile de continuer à faire la gueule à quelqu'un qui par la simple puissance de ses mots, peut te faire sourire et bien plus encore. Alors oui, c'est un demi sourire que sa réplique fait naitre au coin de tes lèvres, et tu lèves tes yeux bleus gris vers elle pour rencontrer son regard ambre que tu aimes tant. « Boui. Et un coup de main aussi pour sortir de cette enveloppe é-nemnatique. » Jeu de mot qui ne vole pas plus haut que le niveau des classes des enfants de 6 ans, mais toi ça te fait rire, et ça te permet de détendre un peu la tension que tu as accumulée suite à l'inquiétude de cet après-midi.

    En tout cas tu ris moins quand elle te menace, et tu bougonnes pour essayer de ne pas te laisser faire. « Tu déteins pas sur moi parce que pour toi je suis toujours cette fille qui sait pas s'habiller, qui mange n'importe quoi et qui a une hygiène de vie à déplorer. » Les jeux vidéos et les nuits à s'endormir bien trop tard, tout ça. En tout cas non tu refuses d'admettre qu'elle déteint sur toi, et quoi encore, un atout de plus dans sa poche pour gagner tous vos débats ? Hors de question, t'as déjà peu d'argument, tu refuses qu'elle t'en enlève d'autres. « Toi non plus tu n'oserais pas. » Et clairement tu veux y croire, lui lançant quand même un regard pas tranquille pour voir sa réaction physique, alors qu'elle t'ébouriffe tes cheveux déjà en vrac une fois qu'elle se soit mise à ta hauteur.

    Elle te propose de l'aide ensuite, et forcément vu ta situation il serait complètement débile de refuser. Alors tu hoches la tête, ton air d'enfant un peu pataud ressortant bien sur le moment. « Merci. » Et non sans rougir de l'audace qui te prend et qui signifie beaucoup pour toi, tu viens déposer un baiser innocent sur sa joue, cachant difficilement ton sourire amoureux. « J'suis tombée sur l'épaule. Mais c'est rien, j'ai l'habitude. » Celui qui ne connait pas ta maladresse ne te connait pas du tout. « Je préfère qu'on passe directement à ton récit de fin de journée. » Non, hors de question que tu la laisses aborder le sujet des films romantiques. Puis elle te doit des explications d'abord, c'est bien plus important.
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    taquineries

    Oh non. Oh non. Elle fait des jeux de mots dignes d’une enfant de six ans, et le pire dans tout ça au fond, c’est que malgré toi tu ne peux pas t’empêcher de sourire. Elle avait l’air tendue, et toi au fond, tu apprécies de voir ce moment où la fissure se fait dans vos deux carapaces. Bien sur, tu ne lui fera pas la remarque au niveau de son humour, elle prendrait la grosse tête et ça ne serait pas lui faire honneur. Alors tu essayes de reprimer un peu ton sourire, et tu secoues la tête. Mais dans tes iris d’ambre il y’a cette lueur mutine, amusée, heureuse. Quelque chose qu’elle est probablement la seule à pouvoir provoquer. « Hmm, est ce que j’ai envie de t’aider ? »  Tu lui dis ça, toujours taquine, mais finalement te relevant un peu, tu commence à l’aider, tirant sur un des pans de la couette.

    Ne t’arretant que pour continuer à la provoquer, pour continuer à jouer d’elle, ou avec elle. « Je ne peux pas nier que ton style de vie soit assez différent du mien. Cependant sur certains points, tu commence à me ressembler. Si seulement ça pouvait marcher aussi pour les autres. »  Un de tes sourcils se releve tout de même alors qu’elle affirme que tu n’oserais pas et tu lui laisse quelques secondes de silence pour simple réaction, avant de lui offrir un « Hmm Hmm »  qui veut tout et rien dire à la fois. Oh, ce n’est pas parce que tu as passé une journée infernale que tu n’es pas d’humeur à taquiner cette femme qui est ta compagne. Et même si bien entendu, tu ne ferais rien contre elle, tu ne lui diras pas. Elle le devinera seule ou vivra dans le doute.

    Finalement, tu finis de tirer sur les pans de la couette, et tu la libère de son cocon de nem, ne pouvant empêcher de l’inquiétude de te prendre. Gagnant un baiser tu lui souris plus fort, et tu sens tes joues qui deviennent plus roses. La gene ? Non. Mais beaucoup de joie, à cette idée qu’elle vient d’initier le baiser, tant et si bien que tu oublie un peu que tu veux la taquiner, et c’est avec douceur que tu passes tes doigts sur son épaule. « Viens allons sur le lit, je vais te masser. »  tu ne lui laisses plus vraiment le choix, la soulevant comme une princesse, pour la porter jusqu’à ce grand lit ou Nidhogg vous laisse un peu de place aussi. « Enlève ton haut s’il te plait. »  Tu ne réponds pas à propos de la journée, tout comme elle fuit la conversation sur les films.

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    Okay tu sens bien le blanc qui suit ta blague qui n'a même pas le mérite d'être qualifiée de telle, et forcément, ça te vexe un peu. Tu lui jettes un regard qui signifie que tu as très bien compris ce qu'elle était en train de se dire, mais t'es toutefois reconnaissante qu'elle ne fasse aucune remarque critique sur le sujet. Ton égo s'en porte un peu mieux alors, même s'il est pas du genre à trop prendre de coups. « Bien sûr que tu as envie de m'aider. » Tu dis ça, même si au fond tu sais pertinemment que si elle a décidé de ne pas le faire, elle serait totalement capable d'agir en respect avec ses envies. Alors tu tentes la bouille, un peu, c'est une de tes armes secrètes.

    « Bah ! N'importe quoi, je ne vois pas en quoi je te ressemble. » Tu nies et tu nieras toujours, hors de question que tu lui concèdes la victoire sur ça. « Moi j'suis très bien comme ça, comme... Moi. » T'essayes de te désigner, du moins t'en as envie, mais tes bras sont toujours emmêlés dans le plaid alors tu te contentes de te regarder dans ton entièreté. Puis de toute façon tu sais qu'au fond même si Asräh te fait beaucoup de reproches, elle est attachée à toi telle que tu es, et c'est une des raisons premières pour lesquelles tu ne te forceras jamais à changer. En tout cas le hmm hmm te plait pas, et tu grognes sans répondre parce que tu sais que plus tu risques de protester, plus elle risque d'avoir envie de le faire ou du moins, de te torturer avec.

    Puis enfin vient la libération, et tu cherches à te lever mais tu n'en as pas le temps alors qu'elle te soulève, visiblement tout aussi rougissante que toi concernant la marque d'affection que tu lui as offerte juste avant. Wah. Ça, ça fait vibrer ton cœur. Tu sais que tu dois être la seule personne au monde qui a de la chance d'assister à des preuves de sensibilité et d'authenticité de la part de la diva du C4, et clairement ça te fait quelque chose. « Je suis si chanceuse. » Et tu ne le dis pas que pour le massage. « Je suis rassurée de voir que tout va bien pour toi. » C'est sincère, cette expression de tes sentiments qui t'ont hantée tout l’après-midi. En tout cas tu ne protestes pas et tu retires ton haut, tout de même surprise qu'elle ne réponde plus. « Bah alors ? T'as perdu ta langue ? » T'aurais peut-être pas dû dire ça, mais ton innocence face à la totale absence de celle d'Asräh aura un jour raison de toi.
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    taquineries

    « Hmm Hmm. » Tu sais qu’elle n’aime pas ça, et tu prends un malin plaisir à ne lui répondre qu’un Hmm Hmm, qui la laissera dubitative. Parce que c’est toujours plaisant de la faire mariner un peu. Parce que tu es le genre de femme qui a passé sa vie à se faire désirer et que ça ne va pas changer comme ça, pas aussi soudainement, et ce même si il y’a cette femme enfant avec qui tu as choisi de passer ta vie. Et c’est aussi un bon moyen pour eviter de céder à cette bouille magique qu’elle fait souvent. Alors Hmm Hmm oui, et tu continues de la taquiner un peu, alors qu’elle, elle continues de nier te ressembler. « Pourtant les menaces little Rogue ça ne te ressemblait pas. »  Et tu lui souffles ça, utilisant sur surnom et la voix la plus sensuelle que tu ais sur le moment.   « Mais bon, je suppose que tu essayes de te montrer avec tes mains, et que tu as oublié que tu ne pouvais pas bouger, alors effectivement, il y’a des point sur les quels tu es terriblement toi. »  Et si pour certains ça serait une insulte, pour toi, en parlant d’elle, c’est dit avec l’etincelle d’une affection que tu as du mal à cacher malgré tout.

    Ce qui ne t’empêcher pas à continuer de la taquiner avant de la liberer une bonne fois pour toute. Tu aimerais rester froide, rester dure, mais avec elle c’est plus fort que toi, tu as ce coté doux qui ressort, comme si elle faisait sortir un chaton de ta personnalité de panthère. C’est atroce, et étrange, et tu le nierais même sous la torture. Et pourtant, la taquinerie laisse place à autre chose pour quelques temps, pour quelques fugaces instants peut-être. Doucement tu la pose sur le lit, et tu déposes machinalement un baiser sur son front. « Nous sommes deux. »  Ton sourire est un peu plus doux, et tu grognes en réalisant ce que tu viens d’avouer. Alors la bad bitch revient un peu – avec peine – et tu lève les yeux au ciel. « Vraiment ? C’est à cause de ton inquiétude que tu as enchainé toute la filmographie de Leonardo DiCadoizo ? »  

    Et puis forcément, elle te nargue un peu, et aprés s'être mise à nue, pendant que tu admire ce torse parfait et nu, et que tu peux appercevoir des traces de son tatouage, magnifique, tu reste silencieuse.... cependant elle te lance une pique à la quelle tu ne peux pas resister, et la poussant un peu mieux contre le lit tu viens souffler à son oreille. « Non, elle est bel et bien la, je vais t’en faire une demonstration. » Et d’un mouvement habile, tu coinces son lobe entre tes lèvres, avant de descendre tes baisers dans sa nuque, effleurant celle-ci du bout de cet organe dont elle parlait plus tôt.


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    Tu grognes à son nouveau hmm hmm. T'aimes tellement pas quand elle te répond que ça, tu sais que pour elle ça veut tout dire et rien dire à la fois, t'aimes pas savoir. T'as pas envie qu'elle se moque intérieurement de toi parce que c'est carrément pas cool, surtout quand il s'agit de dévoiler un truc pareil. « C'est pas drôle ! » Tu râles, mais pas pour longtemps. A l'entente de ce surnom murmuré d'une voix aussi sensuelle, tu sens une décharge te remonter le long de la colonne et te figer bien droite, te sentant toute bizarre. T'as jamais compris pourquoi, mais quand elle t'appelle comme ça, avec cette voix là, ça te fait quelque chose. Tu réagis même pas à la taquinerie qui suit et qui t'aurait clairement fait réagir si tu avais été dans ton état normal, car c'est clairement presque vexant, même si tu sauras toujours que tout ceci n'est qu'un jeu entre vous. Enfin tu penses.

    Tes esprits te reviennent ensuite finalement, alors que tu te fais libérer et que tu offres une marque d'affection qui fait s'installer un silence presque gênant. Mais les mots d'Asräh ne t'échappent, et ne font qu'amplifier ton sourire alors que tu rougis un peu plus, incapable de la regarder, presque prude sur le moment et sur ce que tu ressens. Mais tu te reprends vite, et tu te tournes vers elle avec un regard presque outré. « Quoi ?! Non ! Enfin... Peut-être ! Mais et alors ? Il est talentueux et a un super charisme comme acteur, tu sais pas de quoi tu parles c'est tout ! » Tu boudes et tu croises les bras sur ta poitrine, baissant la tête sans réaliser tout le sens de tes paroles encore une fois, et qui la fera très certainement réagir.

    Comme cela survient après que tu te sois en partie déshabillée, dévoilant un torse nu et encore chaud du plaid dans lequel tu étais entouré. Ton tatouage de Rayquaza est mis à l'honneur alors que maintenant tu ne ressens presque plus de gêne de te déshabiller devant elle. En tout cas tu figes à son murmure, et sans comprendre ce qui t'arrive tu es allongée sur le lit avec quelque chose d'humide et de beaucoup trop... chaud te titillant l'oreille. « Nani ? Attends ! Non tu... on... le massage ? » Tu perds tes mots parce que comme c'était à prévoir, les baisers de la plus âgée te font carrément perdre tes moyens, même si tu cherches encore à lutter pour trouver la logique à tout cette succession d'actions totalement inattendues pour toi. Vraiment tu ne comprends pas, mais par contre tu sens bien ses lèvres dans ta nuque, et son corps surplombant le tien.

    Asrāh Falkenwald
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    taquineries

    « Bien sur que si O. » Mais tu as les mots qu’il faut, et tu sais comment la prendre (sans mauvais jeu de mot pour le moment). Alors forcément oui, elle reagit à ce surnom que tu énnonce si facilement, si sensuellement, et tu souris malgré toi, tu souris malgré tout. C’est un cycle qui continues, et finalement oui, finalement tu la libere de cette couette qui en faisant un rouleau de printemps particulièrement attachant et digne de tes affections. Tu ne lui diras pas non. Pourquoi flatter un égo qui gonfle si facilement.

    Et au lieu de ça, il y’a quelques taquineries, tu ne peux pas t’empêcher de parler de ce film devant le quel tu l’as surprise. C’est aussi un peu ta manière de changer de sujet, de renvoyer la balle loin de son inquiétude, de détendre l’atmosphère aussi. Et tu gardes un sourcil redressé alors qu’elle se justifie plus ou moins. « Tu avoue t’être inquietée. » Tes doigts passent sur sa joue, tes ongles effleurant sa lippe inferieure, et puis tu retire ta main comme si elle brulait. « Il a le charisme d’un crustabri et il est aussi doué pour faire du cinéma que ma chaussure gauche. » Tu lèves les yeux au ciel. Tu as grandi dans le milieu des stars un peu, à casue de tes parents, tu sais qui est un acteur apprécié et qui ne l’est pas. Mais toi tu n’apprécies pas spécialement les acteurs à grand succés comme ça. Tu les trouves même pathétiques. Enfin tu ne rencheris pas.

    Tu préfères te concentrer sur ce magnifique torse dévoilé devant toi. Tes doigts finalement viennent glisser un peu sur son tatouage, avant que tu ne la plaque contre le lit, reagissant forcément à cette perche qu’elle te tend. Et quand elle parle hoennien pour toute réponse, tu ne peux pas empêcher un frisson de te prendre. Tu adores ça, et tu reconnais que l’entendre parler dans sa langue natale, t’excite assez. « Le massage ? Oui. L’un n’empêche pas l’autre. » Tes lèvres dans sa nuque descendent vers son épaule valide, et ta main glisse vers son épaule blessée, que tu commence à caresser doucement. « Reste sage, ma rogue, et tu auras plusieurs types de massages dans la même sioirée ~ » Et tes lèvres croquent dans sa peau tendre.

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