Vous reprendez bien un morceau ? | Roxane Lafleur

Roxane Lafleur

Rang D

Chef ou Roxie

35 ans

Team Boréal

Chef cuisinier / Criminelle

feat. Fatale Overwatch

Descriptions

Résumé :

Passionnée - Envieuse - Gourmande - Curieuse - Aventureuse - Mauvais fond - Vénale - Protectrice - Extrême- Enjoleuse - Perfectionniste - Charismatique - Fourbe - En quête de nouveauté permanente - Adore s’amuser

Grande - Apprêté - Coquette - Cheveux long et noirs - Yeux mordorés - Quelques tatouages et cicatrices -

Version Longue :

“ Alors Roxane Lafleur, parlez nous un peu de vous, êtes vous vraiment celle que l’on croit ? La folle de cuisine et de nouvelles saveurs ? "

Un sourire étire tes lèvres. S’ils savaient ce que tu es au fond, celle que tu es quand la lumière de ton restaurant s’éteinds, ils ne te regarderaient pas avec ce regard si gentillet

"Bien sur. J’ai toujours eu cette curiosité pour les choses, partant à l’aventure pour chercher de nouvelles choses oui, cela m’as valu pas mal de déconvenue mais… aussi de belles découvertes. "

Ils t’écoutent attentivement les journalistes, car quand tu parles, tu captive un peu les regards avec ton charisme. Et si tu caresse instinctivement le pelage de Satine, le journaliste griffonne :

"Oui, nous sommes heureux que votre aventure s’arrête en Netovia, vous ne connaissez pas encore l’endroit, vous pourrez le découvrir. Les pokémons, les gens et la cuisine locale !"

J’hoche la tête. Les gens ? Pleins d’industriels qui détruisent les terres oui. Tu es un peu fourbe, tu souris devant la caméra mais au fond, tu ne rêve que de hurler à la face du monde qu’ils détruisent tout. Tu es un peu perfectionniste en plus, tu ferais ca bien.

"Oui. J’Envie la cutlure locale qui est restée un peu sauvage tout en se diversifiant. Et puis comme cela je pourrais faire connaitre ma cuisine et mon univers aux Netoviens."

Et gagner leur argent, car oui, avec le temps, l’argent à finir par faire ton bonheur. C’est peut être de famille.

"Nous esperons tous que vous vous plairez ici ? Etes vous venue accompagnée ? On veut tout savoir !"

Tu peux voir au petit regard du journaliste le sous entendu. Accompagnée dans la vie ? tu l’as été oui, et tu as failli tout détruire en voulant protéger ce qui a finalement été détruit. Alors tu es protectrice envers ce qu’il te reste, les quelques liens, ton pokémon, ton argent, et tes convictions.

"Satine est ma seule comparse de voyage, mais je suis certaine que je trouverais des personnes magnifiques sur ces terres. "

Tu rends le clin d’oeil enjôleur au journaliste qui rougit un peu avant de sortir sa caméra :

"On va prendre quelques plans pour notre émission du soir, je vous laisse faire le show devant la caméra ? "

Faire le show, tu sais faire, tu as toujours aimé ca. Surtout les voir oui. Mais le faire est drôle aussi. Alors tu te lèves du haut de ton mètre 70. Tu es toujours bien habillée, sauf quand tu cuisines, tu enfiles un tablier, peu importe ce qu’il y a en dessous. Tu caches tes bras, pour la vidéo seulement, cachant quelques tatouages et des cicatrices d’un passé lointain.Tu n’en as pas honte non, c’est juste pour l’image Tu tente même de faire les yeux doux, eux qui ont cette étrange teinte mordorée. Tes cheveux si long tirés en une couette haute encadrent ton visage bien apprêté.

"Merci beaucoup Chef Lafleur. "

Ainsi débute notre histoire •••

Résumé:

Anecdotes : Elle n'as rien contre manger les pokémons - Elle en cuisine même - Elle a écris de nombreux livres de cuisines - Elle aime tout le monde - Elle a déjà tué et même si elle ne le fais pas par passion, pour ses objectifs, pourquoi pas - Elle n'as, à ce jour, pas tenter de ligue ou d'arène

Version longue :

Est-ce égocentrique d’écrire ces mémoires ? Tu ne sais pas, un chef de Sinnoh t’as soufflé l’idée alors ce soir, avec ton verre de vin, tu tapes sur le clavier de l’ordinateur.

Chapitre 1 : Il était une fois

J’ai toujours connu mon père et ne sais de ma mère qu’une chose “ Elle était belle à tomber”. Une femme connue peut être ? Je n’en sais pas grand chose. J’ai vécu dans un petit bar à Illumis. Les gens qui y trainaient n'étaient pas des gens que l’on voulait croiser dans les ruelles le soir, mais j'étais un peu comme une petite princesse, leur mascotte au fond oui un peu.
Aujourd’hui je sais que mon père était un criminel de la mafia, ayant travaillé avec les différentes team de Kalos et alentours. Est ce que cela me dérangeait ? Non, j’avais une enfance quasi normale, avec des fréquentations différentes. Est ce que cela me dérange maintenant ? Non. Parce que j’y suis plongée un peu aussi.

Je rêvais de devenir chef, adorant les pâtisseries et manger plus qu’à mon tour, mais mon père avait d’autres projets pour moi oui. Il voulait que je réussisse comme lui, que je ne devienne pas aussi… criminelle que lui. Car oui c’était un “bon père” au fond, ne souhaitant pas la même vie à sa fille qu’il chérissait plus que tout. Oui j'étais une fille à Papa. J’étais.

Alors il faisait tout pour que j’ai une vie normale, je passais mon temps à parcourir les rues d’Illumis, aller voir les concerts, les concours et les matchs pokémons. Je guettais le ciel à attendre l’apparition d’immenses pokémons. Une enfant joyeuse, cachant à tout le monde que son père était autre chose que ce bon barman.

Puis l’adolescence vint, j’aidais mon père à tenir son bar, rêvant de plats, de cuisine et de pâtisserie. Mon premier petit ami fut boulanger, à force de traîner devant sa boulangerie à baver, je lui ai tapé dans l'œil.

Continuant d’aller voir des concours, elle admirait les gens qui réalisaient leurs passions alors que moi, je devais oublier cette dernière. Et ce fut une rencontre, une discussion, une révélation divine peut-être. Certains diront la crise d’adolescence. Je me décidais à cuisiner pour d’autres que moi-même dans le dos de mon père, vendant à la sortie de l’école etc. J’étais douée oui, et ce petit côté “illégal” rendait cela encore plus… agréable. C’était peu, un pécule juste et un moyen pour moi d’oublier le reste de ma vie monotone. Et si j’en discutais parfois avec les “collègues” et “clients” du bar paternel, si ce dernier savait ce que je faisais, il n’en disait rien.

Chapitre 2 : Que la lumière soit.

Jusqu’à ce que l’école ne soit qu’un lointain souvenir, jusqu’à ce que le marché du travail se présente à moi. J’ai été hôtesse pendant quelques mois dans un hôtel d’Illumis, coursière aussi, parcourant Kalos fond en comble. Perdant du temps, je n’avais pas le temps de cuisiner, travaillant pour travailler et faire plaisir à mon père. Où était passée mon envie de vivre de ma passion ? Elle s'était cachée derrière la peur de l’assumer devant celui qui m'hébergeait et me nourrissait. Est ce que ce fut le Destin ce soir la ?

Que, pourquoi il y a de la lumière ici ?

Prise sur le fait je jetais immédiatement tout dans l’évier, fuyant le regard du père. Du haut de mes 18 ans je n’en menais pas large.

Tu crois vraiment que je ne savais pas que tu faisais ça ?

Je pris mon courage à deux mains, rébellion tardive mais inévitable :

Tu crois vraiment que je ne sais pas ce que tu fais réellement toi ?

Une bataille de regards, des secondes immensément longues. Et un double fou rire. C’était stupide, mais en y repensant, j’ai les larmes aux yeux. “

Tu as fini ton verre, alors tu sors une énième bouteille, fixant les pages que tu viens d’écrire avec un œil aviné, et tes doigts retournent pianoté le clavier.

“Mes liens avec mon père se sont renforcés, je commençais à cuisiner pour le bar, pour ses clients. J’avais le droit de lire des livres de cuisine et de tester sur ces derniers. De plus en plus de gens venaient au bar pour manger, et si cela embêtait mon paternel, cela me faisait, un plaisir fou. C’est pour cela qu’il finança mon installation dans un petit restaurant. L’ancien propriétaire avait vendu après un incendie, il fallut tout retaper mais ce fut l’occasion pour moi de rencontrer ma chère Satine. Elle vivait dans les décombres, toute petite à l’époque une jeune Chacripan, était elle née dans ces décombres, peut être. Était- elle différente ? Peut être, mais elle ne quitta jamais les lieux et ne me quitte plus depuis.

Des rumeurs couraient comme quoi l’incendie était criminel, et je compris pourquoi et par qui. Mais cela ne me dérangeait pas, la faim justifie les moyens et j’exprimais enfin mes talents dans une cuisine, pour des clients.

Le succès se fit rapidement, dans ma clientèle j’avais autant de gens normaux que peu recommandables. Habituée de tout, je ne pensais que cuisine. Ne remarquant pas que des représailles aux actes de mon père allait me tomber dessus.

Que de larmes alors que mon restaurant brûlait de tout feux. Un juste retour des choses? Peut être. Le responsable s’en mordit les doigts, ou du moins, Satine lui mordit les doigts. C’était un malfrat “ennemi” des collègues de mon père, un dresseur de pacotille que j'écraserais sans vergogne. “On ne touche pas à ma cuisine”. La rage de la jeunesse au cœur, le doigt sur la détente, ce bruit resta gravée dans ma mémoire comme le bruit du corps sans vie qui tomba au sol. Sans même m’en rendre compte, j'étais devenue comme mon père.

Partie 2 ans explorer le monde, officiellement pour de nouvelles saveurs et officieusement le temps de l’enquête pour meutre, j’en profitais pour me faire connaitre, cuisinant pour des événements et rencontrant des gens de tous bords. Un chef d’Alola me fit même l’honneur de me laisser cuisiner pour lui. Loin d’illumis ces 2 années me firent oublier ma propre malhonnêteté. Mais c’est dans mon sang, dans mes gènes.

Cela m’apporte de l’argent, des connaissances, me permet de menacer, et de prendre plus de place. Grâce à ce "réseau" j'ouvre mon 2eme restaurant à Galar l’année de mes 25 ans. Je commence à avoir de la renommée sous mon pseudonyme de cuisinière. Ma vie semble parfaite.

Chapitre 3 : Quand le rideau tombe

Je ne l’ai pas vu venir. Comme tous les mardi j’allais au bar de mon père, faire les comptes, parler avec les autres et d’autres choses. Mais ce soir-là, ce fut un enfer. Nous avions arnaqué plusieurs entrepreneurs de la région, les forçant à acheter plus cher des parcelles pour les usines, détournant leur argent. Et cela n'avait pas plu. Me retrouvant à devoir me défendre dans une fusillade, l’adrénaline m’avait portée pendant l’assaut, avais-je tué à nouveau ? Peut être ? J’étais là, assise par terre, dans le sang de nombreux malfrats. Pour la police, je donnais l’alibi que j’allais voir mon père pour prendre des nouvelles et que je me suis retrouvée dans le feu de l’action. Sans rien comprendre. La vérité était tout autre. Peu avant mes 30 ans, je perdis un pan entier de ma vie. Mon père, mes repères, et mon repère.

Chapitre 4 : Le froid est pour moi le prix de la libertée

Cet accident m’avais propulsée encore plus sur le devant de la scène, que ce soit le jour ou la nuit. J’écris un livre, continue de cuisiner, voyage. Mais vivre à Kalos me frustre. Un pays de plus en plus contrôlé par des industriels de la même espèce que celui qui a tué mon père. Détruisant l’environnement comme des vies.

J'ai voulu changer d’air et lors de la promotion de mon livre, je m'arrêtais à Netovia. Eux aussi avaient leurs industriels oui. C’est vrai, mais c’était un nouveau monde à conquérir. Était-ce la rencontre d'un membre de la Team qui me convainquit ? Oui. J'ouvrais mon restaurant. Je reprenais une vie normale loin de la criminalité mais cette dernière revint très vite à moi. Je commentais l'explosion d'une usine, expliquant que cela serait mieux s'il y en avait moins lorsque ce client me proposa de venir avec lui. La team Boreal. S'il ne fallut pas longtemps pour me convaincre, l'épreuve fut difficile.

Je n'avais connu que les hivers de Kalos et des autres régions. Le froid de ce glacier fut intense. Brûlant. Effroyable. Ce fut un périple intense, épuisant et qui laissa des marques mais qui continua de souder ce lien avec Satine oui sans elle je n'aurais pas réussi l'épreuve.

Cela m'a permis de trouver mes limites, et de me sentir vivante à nouveau. “

Tu regardes la bague à ta main ou trône le bijou de glace. Tu as changé avec le temps et si la cuisine est toujours ta passion, et si ton restaurant n’est pas qu'une simple couverture, tu es aussi en quête de vengeance contre ceux détruisant les ressources de ce monde.

Chacripan — RANG D

Satine est une vraie tigresse, mais reine de la paresse. Elle aime les longues siestes au coin du feu et courir après les Passerouges. Si Roxie est la main qui le nourrit et lui donne un abri, Elle se comporte comme un Caninos enragée si jamais sa maîtresse a besoin d’elle, elle est un peu collante même, accompagnant sa dresseuse partout où elle va. Son regard met mal à l’aise certains clients du restaurant mais lorsqu’ils apprennent qu’elle n'a jamais mordu personne ils se rendent compte que c’est juste un Chacripan. Voleuse invétérée, elle adore voler ce qu’elle trouve sympa, elle a déjà voler des clients oui.. c’est déjà arrivé et Roxie lui pardonne toujours. Elle mords souvent, mais elle adore que l’on s’occupe d’elle.

Ceci est un DC •

BOREAL !

Rebienvenue a toi

le dc de la bg-attitude, we stan -w-
rebienvenuuuuue Like a Star @ heaven

FELICITATIONS TU ES VALIDE(e)

Et c'est tout bon la cuistot ! Tu comptes attraper un Rattata et l'appeler Ratatouille ? *blague nulle au revoir*

Bien joué ! Ta fiche étant au top nous te validons immédiatement RANG D avec CHACRIPAN - RANG D en starter. Tu peux d'ores et déja aller poster partout sur le forum, mais voici quelques liens qui nous le pensons pourraient t'être utiles. Tout d'abord la T-CARD obligatoire dans la quelle n'oublie pas de te rajouter 5 pokeballs et 1 potion puis les fiches de liens. Par ici tu trouveras également un lien rapide vers les modération diverses et les les missions, gages et défis

Encore des criminels à coffrer ! Mais avant... j'ai faim
Rebienvenue alors o//

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