- Alya D. Sawyer
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Alya Daniela Sawyer
Rang D Aly' 27 ans Dresseuse Documentariste ft. Wonder Woman | Descriptions Alya est une jeune femme qui adore l'aventure. Elle sera même partie de chez elle à la recherche de nouveaux horizons à explorer. Légèrement (très) impulsive, elle agit souvent avant de penser, et se retrouve ainsi communément dans des situations loufoques. Altruiste, elle n'hésite pas à venir en aide à ceux qu'elle aime ou même à des parfaits inconnus. À bord de sa motocyclette, avec Steve, son Rufflet, elle parcoure présentement Netovia à la recherche d'une inspiration quelconque pour un nouveau documentaire... Car la photo et les vidéos sont une de ses grandes passions. Pas très connue encore dans la région, elle s’est cependant fait une réputation à Hoenn pour ses vidéos sur la nature, surtout, et sur les pokémons qui y sont natifs. Facile d’approche, Alya se montre toujours amicale et pleine d’entrain. Elle est légèrement taquine, n’hésite pas à faire des blagues, à alléger une atmosphère lourde. |
― Steve, ça ne peut pas continuer comme ça…
C’est un amas de plumes qui titube vers elle, à peine discernable entre toutes les égratignures et les taches de boue. Alya le rattrape avant qu’il ne s’effondre au sol, le visage désolé, résigné. Le pauvre Rufflet s’était encore battu avec des pokémons sauvages, essuyant une défaite monumentale. Avant qu’elle ne se rende compte de son absence, il était déjà trop tard. Et le voilà qui était revenu, tout brisé et clairement misérable.
― Il faut que tu arrêtes de te battre par fierté, comme ça. Ça ne finit jamais bien.
Ironiquement, il lui fait penser à elle. Il y a quelques années, son impulsivité la mettait dans des situations plus que désagréables. Mais elle, ce n’était pas par fierté, non : c’était par altruisme ou tout simplement par inconscience. Elle se rappelle encore, quand elle avait dix ans, de Gloria et de son Skitty qui était pris en haut d’un arbre. Elle n’avait pas pensé avant d’y grimper. Elle était tombée, mais, malgré son épaule disloquée et sa jambe cassée, le Skitty s’en était sorti indemne. Il est difficile, lorsque le corps agit plus vite que la pensée, de se rendre compte des conséquences de ses actes. Plus jeune, encore, elle s’était demandée ce qui arriverait si elle mettait sa jambe dans la roue de sa bicyclette alors qu’elle était en marche. Avant même de penser à faire l’acte, tout était déjà accompli : elle était déjà dans les airs, sur le point de s’effondrer. Oups.
Le petit aigle siffle de désapprobation entre ses bras : lui demander de cesser de se battre était contre sa nature. Il voulait devenir plus fort. C’était un besoin plus qu’instinctif.
Steve était donc comme elle, tout aussi rempli d’égratignures et de cicatrices qu’elle, même si les raisons étaient différentes. Du haut de ses dix-neuf ans, en tant que Maman Oiseau – et ce, depuis moins d’un an – elle ne pouvait pas ne rien faire. Alors, tout en caressant avec précaution les ailes de son ami, elle relève la tête, regarde en direction du Gym.
― Ça te dit, que je commence à t’entraîner?
― Tu es sûre que tu vas t’en sortir avec si peu de bagages, toute seule?
― Oh, maman, je ne serai pas seule! Steve m’accompagne!
Steve saute sur le banc de la motocyclette, bombant son petit torse d’oiseau en y gonflant ses plumes, et s’exclame joyeusement pour venir appuyer les propos de son maitre. Alya, pour sa part, continue d’attacher ses sacs sur son véhicule. L’inquiétude peint les traits de Mme Sawyer, mais elle secoue la tête bien vite. Sa fille est assez vieille pour prendre ses propres décisions. Fortree avait toujours été une ville un peu trop calme pour elle. L'envoyer à Mauville pour ses études en cinéma avait déclenché en elle ce goût pour l'aventure... Où partirait-elle? Elle verrait bien où la route la mènerait. Si sa mère ne s’était pas rendu compte du remue-ménage que sa fille causait dans sa chambre, en sortant ses caméras et les empilant dans une valise, sous le regard intéressé de Steve, elle n’aurait jamais su que sa fille comptait partir. Elle peut être si impulsive.
― Et combien de temps penses-tu être partie?
L’intéressée se redresse. Elle se retourne vers sa mère et la regarde pendant un long moment, le visage neutre.
Sa mère soupire.
―… Tu ne le sais pas, hein?
Alya lève les épaules et rit doucement. Oups?
Peu importe, quand elle reviendra. Ce qui compte, c’est tout ce qui viendra pendant son voyage, tout ce qu’elle pourra explorer, toutes les idées qu’elle pourra avoir pour d’éventuels documentaires! En plus, avec son dernier documentaire en freelance, elle a quand même eu une assez bonne somme d’argent pour ce genre d’imprévus. Et puis, avec leur discipline d’entrainement, à Steve et à elle, elle n’aura pas à acheter autant de potions et de pansements qu’elle ne l’aurait fait lors de ses dix-neuf ans… Ils ont tous les deux évolué. Elle en sagesse, et Steve, lui, en endurance.
Ils sont prêts, tous les deux, à quitter le nid.
Une expiration quitte ses lèvres. Le regard vers l’horizon, sur une ville quelconque dont elle n’a pas encore appris le nom. Les lampadaires et les fenêtres éclairées parsèment le paysage comme des étoiles dans le ciel. Sur le précipice, s’appuyant sur sa motocyclette, elle hume l’air humide de l’automne. Il fait trop noir pour sortir sa caméra et filmer, mais tout va bien – elle l’aura déjà fait sur la route, tout en prenant un nombre incalculable de photographies. Le Golden Hour aura été magnifique du haut de son perchoir.
Partir aura été, il y a de cela quelques mois, la meilleure décision de sa vie. Elle commençait à étouffer. Après tout, Alya avait toujours aimé l’aventure, et rester à Hoenn ne lui aurait pas permis d’explorer tout ce qu’elle aurait pu explorer, de voir le monde comme elle voulait le voir, de connaître. C’est un désir profond, celui de connaître, d’explorer, de partir pour soi, tout en gardant les pieds sur Terre, en s’intéressant à ses enjeux, à sa culture. La douce brise d’automne la fait frissonner, si bien qu’elle ajuste son manteau de cuir rouge sur ses épaules. Elle pose un regard distrait sur Steve, qui semble s’être endormi sur le banc de la motocyclette, et effleure du bout des doigts ses plumes. Il faudrait repartir avant que la fatigue ne les prenne tous les deux. Après tout, qui conduirait?
― Certainement pas toi, hein?
Elle gratte la tête de l’oiseau, qui ouvre un œil, légèrement irrité. Alya lève un sourcil, lui offre son plus beau sourire. Le Rufflet se redresse et se blottit contre elle.
― On va rentrer, Steve. Demain, on sera de retour à Smokebay. Mais pour ce soir… Ça te dit d’aller visiter cette ville, en bas?
L’oiseau glatit doucement, trop fatigué pour donner une réponse plus éloquente. La dresseuse reprend la pokéball de sa ceinture et le fait rentrer. Sweet dreams, little one. En replaçant la pokéball à sa place, Alya s’assure que ses sacs sont bien attachés sur sa motocyclette, remet son casque, et, enjambant son véhicule, repart dans la nuit en un flash.
C’est un amas de plumes qui titube vers elle, à peine discernable entre toutes les égratignures et les taches de boue. Alya le rattrape avant qu’il ne s’effondre au sol, le visage désolé, résigné. Le pauvre Rufflet s’était encore battu avec des pokémons sauvages, essuyant une défaite monumentale. Avant qu’elle ne se rende compte de son absence, il était déjà trop tard. Et le voilà qui était revenu, tout brisé et clairement misérable.
― Il faut que tu arrêtes de te battre par fierté, comme ça. Ça ne finit jamais bien.
Ironiquement, il lui fait penser à elle. Il y a quelques années, son impulsivité la mettait dans des situations plus que désagréables. Mais elle, ce n’était pas par fierté, non : c’était par altruisme ou tout simplement par inconscience. Elle se rappelle encore, quand elle avait dix ans, de Gloria et de son Skitty qui était pris en haut d’un arbre. Elle n’avait pas pensé avant d’y grimper. Elle était tombée, mais, malgré son épaule disloquée et sa jambe cassée, le Skitty s’en était sorti indemne. Il est difficile, lorsque le corps agit plus vite que la pensée, de se rendre compte des conséquences de ses actes. Plus jeune, encore, elle s’était demandée ce qui arriverait si elle mettait sa jambe dans la roue de sa bicyclette alors qu’elle était en marche. Avant même de penser à faire l’acte, tout était déjà accompli : elle était déjà dans les airs, sur le point de s’effondrer. Oups.
Le petit aigle siffle de désapprobation entre ses bras : lui demander de cesser de se battre était contre sa nature. Il voulait devenir plus fort. C’était un besoin plus qu’instinctif.
Steve était donc comme elle, tout aussi rempli d’égratignures et de cicatrices qu’elle, même si les raisons étaient différentes. Du haut de ses dix-neuf ans, en tant que Maman Oiseau – et ce, depuis moins d’un an – elle ne pouvait pas ne rien faire. Alors, tout en caressant avec précaution les ailes de son ami, elle relève la tête, regarde en direction du Gym.
― Ça te dit, que je commence à t’entraîner?
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― Tu es sûre que tu vas t’en sortir avec si peu de bagages, toute seule?
― Oh, maman, je ne serai pas seule! Steve m’accompagne!
Steve saute sur le banc de la motocyclette, bombant son petit torse d’oiseau en y gonflant ses plumes, et s’exclame joyeusement pour venir appuyer les propos de son maitre. Alya, pour sa part, continue d’attacher ses sacs sur son véhicule. L’inquiétude peint les traits de Mme Sawyer, mais elle secoue la tête bien vite. Sa fille est assez vieille pour prendre ses propres décisions. Fortree avait toujours été une ville un peu trop calme pour elle. L'envoyer à Mauville pour ses études en cinéma avait déclenché en elle ce goût pour l'aventure... Où partirait-elle? Elle verrait bien où la route la mènerait. Si sa mère ne s’était pas rendu compte du remue-ménage que sa fille causait dans sa chambre, en sortant ses caméras et les empilant dans une valise, sous le regard intéressé de Steve, elle n’aurait jamais su que sa fille comptait partir. Elle peut être si impulsive.
― Et combien de temps penses-tu être partie?
L’intéressée se redresse. Elle se retourne vers sa mère et la regarde pendant un long moment, le visage neutre.
Sa mère soupire.
―… Tu ne le sais pas, hein?
Alya lève les épaules et rit doucement. Oups?
Peu importe, quand elle reviendra. Ce qui compte, c’est tout ce qui viendra pendant son voyage, tout ce qu’elle pourra explorer, toutes les idées qu’elle pourra avoir pour d’éventuels documentaires! En plus, avec son dernier documentaire en freelance, elle a quand même eu une assez bonne somme d’argent pour ce genre d’imprévus. Et puis, avec leur discipline d’entrainement, à Steve et à elle, elle n’aura pas à acheter autant de potions et de pansements qu’elle ne l’aurait fait lors de ses dix-neuf ans… Ils ont tous les deux évolué. Elle en sagesse, et Steve, lui, en endurance.
Ils sont prêts, tous les deux, à quitter le nid.
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Une expiration quitte ses lèvres. Le regard vers l’horizon, sur une ville quelconque dont elle n’a pas encore appris le nom. Les lampadaires et les fenêtres éclairées parsèment le paysage comme des étoiles dans le ciel. Sur le précipice, s’appuyant sur sa motocyclette, elle hume l’air humide de l’automne. Il fait trop noir pour sortir sa caméra et filmer, mais tout va bien – elle l’aura déjà fait sur la route, tout en prenant un nombre incalculable de photographies. Le Golden Hour aura été magnifique du haut de son perchoir.
Partir aura été, il y a de cela quelques mois, la meilleure décision de sa vie. Elle commençait à étouffer. Après tout, Alya avait toujours aimé l’aventure, et rester à Hoenn ne lui aurait pas permis d’explorer tout ce qu’elle aurait pu explorer, de voir le monde comme elle voulait le voir, de connaître. C’est un désir profond, celui de connaître, d’explorer, de partir pour soi, tout en gardant les pieds sur Terre, en s’intéressant à ses enjeux, à sa culture. La douce brise d’automne la fait frissonner, si bien qu’elle ajuste son manteau de cuir rouge sur ses épaules. Elle pose un regard distrait sur Steve, qui semble s’être endormi sur le banc de la motocyclette, et effleure du bout des doigts ses plumes. Il faudrait repartir avant que la fatigue ne les prenne tous les deux. Après tout, qui conduirait?
― Certainement pas toi, hein?
Elle gratte la tête de l’oiseau, qui ouvre un œil, légèrement irrité. Alya lève un sourcil, lui offre son plus beau sourire. Le Rufflet se redresse et se blottit contre elle.
― On va rentrer, Steve. Demain, on sera de retour à Smokebay. Mais pour ce soir… Ça te dit d’aller visiter cette ville, en bas?
L’oiseau glatit doucement, trop fatigué pour donner une réponse plus éloquente. La dresseuse reprend la pokéball de sa ceinture et le fait rentrer. Sweet dreams, little one. En replaçant la pokéball à sa place, Alya s’assure que ses sacs sont bien attachés sur sa motocyclette, remet son casque, et, enjambant son véhicule, repart dans la nuit en un flash.
STEVE — RANG D Steve, c'est un furaiglon extrêmement fier. Dès la sortie de son oeuf, il avait déjà envie de se battre et de montrer qu'il était le meilleur. Ses instincts de batailleur le suivent partout, ce qui cause parfois, malheureusement, quelques problèmes avec les autres Pokémons. Connaissant Alya depuis la sortie de son oeuf, il est extrêmement protecteur envers elle, voire un peu jaloux sur les bords. Elle est sa maman, après tout, et il n'y a rien qu'il ne ferait pas pour elle. |
Bonjour c'est encore Teapot j'ai aucun self control.
- Ozloënvoalf Azehl
- Messages : 402
Bonjour madame, vous etes belle
- Alya D. Sawyer
- Messages : 8
NO u
- Skorri Brekason
- Messages : 418
Rebienvenue ! la folie des DC est RAPIDE ici
- Salem O. Solo
- Messages : 97
REBIENVENUE AVEC CE PERSO BADASS !
- Oro Hia'ai
- Messages : 138
Bienvenue ici avec ce perso beaucoup trop cool ! Tu connais la maison
FELICITATIONS TU ES VALIDE(e)
Bien joué ! Ta fiche étant au top nous te validons immédiatement RANG A avec Stalgamin - RANG A en starter. Tu peux d'ores et déja aller poster partout sur le forum, mais voici quelques liens qui nous le pensons pourraient t'être utiles. Tout d'abord la T-CARD obligatoire dans la quelle n'oublie pas de te rajouter 5 pokeballs et 1 potion puis les fiches de liens. Par ici tu trouveras également un lien rapide vers les modération diverses et les les missions, gages et défis
- Magnus Carcosa
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Rebienvenue parmi nous camarade !
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