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  • L’île de Netovia a depuis longtemps été eloignée des conflits et compétitions qui avaient lieu dans le monde entier et alors que des pays et des royaumes comme Unys, Kalos, ou même les îles d’Alola rejoignaient les rangs des regions dont les ligues brillaient dans le monde, et dont les combats pokemons étaient suivis partout à la télé, à la radio et sur l’internet, Netovia demeurait tranquille avec ses eleveurs, son Empire et sa spiritualité. Depuis quelques années néanmoins les choses changent, et Netovia tend de plus en plus à apparaitre sur la scène mondiale des compétitions pokémons. L’inauguration d’une Ligue Pokemon Netovienne il y’a quatre ans maintenant ne s’est cependant pas fait sans heurt et alors que des attentats sont de plus en plus fréquents, des soupçons se portent sans fondement sur ceux qui se font appeler la Team Boreal. Aujourd’hui, alors que l’Empereur Galiak Ingverson s’apprete à rouvrir l’arene de Smokebay détruite il y’a trois mois lors d’une attaque de pokemons glaces, nous sommes en droit de nous demander si la sécurité est suffisante, et si les prétendus activistes montreront le bout de leurs ponyta. Les forces militaires et rangers pokemons se partagent le quadrillage des rues, mais les civils ne semblent pas derangés, la foule déjà s’amasse devant les portes de la réputée arène dont le bâtiment remis à neuf s’eleve avec une vue sur le port imprenable. On peut déja voir parmi les badauds des membres de la ligue, des champions du conseil des quatre et des dresseurs de tout horizon. Ce jour de liesse sera t’il brisé par un nouvel attentat ? Restez connectés sur La Chaine d’Information Netovienne numero 3 pour notre live exclussif avec Frederico Ronflex aux commandes.
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    Kalei Ionari
    Kalei Ionari
    Messages : 137

    Sujet : So I dub thee unforgiven [Kalei]

    rédigé le Mar 29 Juin - 17:04


    Kalei Ionari

       
    Rang D
    Connasse
    24 ans
    Dresseur
    Ancienne Skull
    feat. Ruby Rose | RWBY

    Descriptions
    Grande et musclée, l'on dira même costaude, les cheveux bruns qui touchent à peine ses épaules, elle observe le monde d'une hauteur intimidante et d'un regard bleuté bien peu amical, nonchalant lorsqu'on observe de loin. Une flamme brûle au fond de ses prunelles pâles, éternelles, cachant les braises d'un passé qu'elle écrase, néglige comme tous l'ont déjà fait. Ces traumas qui pour elle n'existent pas font danser ses multiples incendies qui oscillent entre nonchalance, colère et incompréhension. Le dos droit, elle parle aussi fort que bas, du peu qu'elle le fait; elle n'est pas la plus bavarde. Méfiante, secrète, fermée, elle mord autant qu'elle grogne, très peu agréable. Elle n'est pas très tactile, non plus, bien qu'il soit totalement possible qu'elle soit seulement touch-starved sans même le savoir. Elle ne connait pas, donc elle s'en méfie, tout simplement.


    Une âme troublée, une carapace constituée de multiples fragments trouvés à la dérive, qu'elle a récolté en apprenant la vie comme elle passe sous ses pieds. Colérique, vulgaire, aux tendances violentes et impulsives, on la compare plus à une bête sauvage qu'à une humaine dotée de sensibilité et d'intelligence.


    Si elle ne possède en effet pas toutes les connaissances du monde, bien loin de là, et une vision assez fermée sur plusieurs topics, elle n'en reste pas moins une femme très intelligente, rapide à agir et à réfléchir. Peut-être pas en culture générale, ni même académiquement parlant, mais bien en connaissances du monde et comment il fonctionne. La débrouillardise rapide et efficace est l'intelligence la plus marquante en elle, son regard ne fixe jamais-- cherchant toutes les possibilités. Elle ne sera jamais capable de vous dire la circonférence des étoiles dans le ciel, ne pourra jamais vous avouer comment elle se sent en les observant, mais pourra très bien retrouver son chemin grâce à elles.


    Car en effet, l'intelligence émotionnelle est celle qu'elle ne comprendra jamais, qu'elle ne possède pas, telle une cacophonie au fond de son esprit, un orchestre dont on ne lui a jamais enseigné la moindre partition. De vulgaires sons beaucoup trop forts qu'elle ne contrôle pas, qui lui éclatent les tympans, qu'elle accumule en surplus, qui ressortent en fracas de colère car c'est la seule façon qu'elle connaît de s'en libérer, d'apaiser ce que les autres qui s'en approchent pourraient considérer comme des enfantillages, des exagérations. Entourée de gens si différents de sa manière d'agir, qui lui reprochent ce qui pour elle est sa seule connaissance en la matière, elle en est profondément dépaysée, renforçant son impression d'être seule au monde. Ces émotions qui changent en eux, les réactions imprévisibles, tout ce qui n'est pas clair et net est une source d'anxiété considérable: Comme dit plus haut, si elle ne connaît pas, elle n'aime pas. C'est plus facile de se protéger comme ça, elle a beaucoup trop donné.


    En bien comme en mal, sa mémoire est irréprochable: Kalei se souvient.


    Les seuls êtres vivants qu'elle arrive à respecter, aimer et protéger sans la moindre once de crainte sont bien les pokémons. Plus simples, sans la moindre once de malice qu'elle voit en tous, c'est à eux qu'elle parle le plus, c'est avec eux qu'elle se sent véritablement à sa place. Si Kalei n'a jamais été quelqu'un pour qui que ce soit qui lui ressemble, c'est d'eux qu'elle a reçu le seul amour qu'elle n'a jamais reçu de ses comparses humains, pas même elle-même. C'est avec eux qu'elle montre ses multiples facettes de douceur et de protection, d'empathie et de compréhension.


    Car c'est une personne, au fond, à quelque part. Une enfant perdue qui a grandi sans les moindres repères, qui a passé par des chemins compliqués, bourrés d'impasses et de pièges qui lui ont laissé bien plus que ses nombreuses cicatrices physiques. Elle a longtemps cherché de l'amour, de l'affection, ce qu'elle ne connaît pas et n'a jamais reçu. Si elle hurle haut et fort pour qu'on s'éloigne, qu'on la laisse seule dans sa propre tête, si elle grogne pour ne pas qu'on la blesse-- elle ne sait pas qu'une main en direction de son visage peut vouloir autre chose que la blesser. Elle ne sait pas que les mots qu'on lui dit peuvent être autre chose qu'un mensonge. Elle ne sait pas que les cadeaux peuvent n'être que bonne volonté. Elle ne sait pas qu'elle est une personne avec qui certains voudraient passer une partie de leur vie, à la suivre dans le chemin qu'elle a tracé elle-même au fil des années. Au fond, elle n'y croit simplement pas: Par simplicité. Elle est assez lâche sur les bords, que voulez-vous.


    Elle est avare; avare de garder le peu qu'elle a, avare de ne pas être comme tous les autres, au dépit de tout ce qu'elle n'aura jamais par peur de perdre le reste.


    Petits fun facts:

       
    Ainsi débute notre histoire •••
    Elle n'était qu'un bébé quand je l'ai vue entrer dans la chambre pour la toute première fois, où j'ai accueilli sa présence enfermée dans le décor doré que l’on a longtemps partagé elle et moi, extravagant comme la richesse exagérée de l'homme et la femme qui venaient l'y déposer. La fatigue dans les yeux partagée au manque d’intérêt en cette nouvelle existence dans leur vie, c’est en ma compagnie que la plus jeune de leur descendance a passé la majorité de sa vie. Oh, ils ne venaient jamais, ils envoyaient ceux et celles qu’ils payent pour tout faire à leur place pour s’occuper des nécessités: la faim, la propreté, tout ce qu’une petite humaine a besoin pour survivre sans la moindre once de vie au fond des yeux. Sans vouloir me vanter, c’est avec moi qu’elle a finalement appris à parler, bien plus tard.


    Vous voulez savoir un secret?


    Je les connais, l’homme et la femme. Ils sont riches, très riches, le type de riche qui façonne leur vie, leurs liens, leur personnalité, ce qu’ils respirent et ce qu’ils disent. C’est pourquoi tous les décors que j’ai vu jusqu’à maintenant sont beaucoup trop remplis pour être utiles, j’ai moi-même longtemps été caché par toutes ces choses qui n’ont jamais servi. À les entendre parler, la majorité de ce qui les entoure ne sert pas; ils aiment seulement tout posséder, tout contrôler. L’impression de posséder le monde entier au creux de leurs paumes avait bien plus d’importance que l’importance elle-même. Les invités qui passaient dans mon champ d’écoute étaient similaires à eux, quand j’y pense. Qui se ressemble s’assemble, comme on dit. C’est sûrement pourquoi la petite n’a jamais été entourée de qui que ce soit, au fond, elle ne ressemblait à personne. Sauvage, distante.


    Je la voyais pleurer jusqu’à temps qu’on achète son silence, avant de repartir comme une ombre, sans laisser de trace. Je reflétait ses malheurs, ses ennuis, sa profonde solitude et son complexe d’infériorité qui n’a fait que grandir avec sa taille; le petit humain qui venait parfois la visiter semblait bien plus avantagé, son aîné d’un an à peine, Teiva. Les voix que j’ai entendues disaient de lui qu’il était charmant, agréable, bien élevé-- l’avenir familial dans toute sa splendeur. Je sentais la rancœur grandir au fond de ses prunelles, ses dents qui grincent. Je l’entendais se plaindre dès qu’un cadeau ne lui plaisait pas, hurler comme Kalei le faisait pour qu’on lui donne la moindre chose. J’entendais ses louanges, j’entendais tout le monde le vanter, le mettre sur un piédestal, véritable enfant roi. D’elle, je voyais des disputes, des confrontations, des messes basses, silencieuses, comme si personne d’autre ne devait entendre, comme si un scandale éclatait si jamais la vérité faisait surface:


    Tout ce qu’il était, elle n’était pas.
    Tout ce qu’il allait être, elle ne serait pas.
    Il est, elle n’a jamais été.
    Elle serait uniquement si il arrête d’être.



    C'étaient les seuls moments où je les voyais dans notre chambre-- pour la blesser, pour ensuite l’acheter avec des cadeaux, pour qu’elle se taise, pour qu’elle avale tous les mots qu’on lui raconte et qu’elle n’en fasse pas la moindre vague, le moindre scandale qui pourrait affecter leur image publique. N’existe pas et tais-toi, peut-être seras-tu utile plus tard. Elle n’a jamais appris à comprendre ce qu’elle ressentait, tant on la lançait dans tous les sens, tant on lui mettait des émotions contradictoires au fond de la tête. Plus elle ressentait, moins elle gérait, se contrôlait, instable. Le petit garçon a tenté de l’approcher, de jouer avec elle à de multiples reprises avec tous ses jouets à lui, mais elle ne l’a jamais voulu. Pas avec sa place d’au cas où.


    Une au cas où le petit ne survivrait pas, pour sécuriser l’avenir de leurs richesses. Elle a su sa place avant de savoir marcher, avant de savoir dire maman ou papa. Ces gens-là, elle n’en avait pas. Elle n’avait que moi. Si le petit garçon venait souvent la voir, elle n’avait que moi. Si les gens qui travaillaient chez elle venaient parfois la voir, elle n’avait que moi. Si on lui accordait de l’attention quand elle cassait tout, si on la nourrissait, l’habillait, donnait des cadeaux, elle n’avait que moi. Moi et moi seul.


    Je l’ai vue apprendre à marcher en s’appuyant sur les rebords de son lit, je l’ai vue apprendre à parler en imitant les sons qu’elle a entendu, je l’aie vue grogner, griffer et mordre ceux qui l'approchent, je l’ai vue perdre le maigre éclat dans ses yeux au fil des années, je l’ai vue se renfermer de plus en plus, je l’ai vue accumuler ses émotions jusqu’à tout casser à de multiples reprises, je l’ai vue pleurer, crier, taper, exiger de l’attention pour au final l’éloigner, serrer si fort ses oreillers pour crier à chaque contact, ils l’appelaient la sauvage. Elle ne quittait que très peu le périmètre que l’on partageait, elle apprenait ici, mangeait ici, vivait ici. École à la maison, évidemment.


    Parfois, elle partait, pourtant. Pour des “vayages”, qu’elle a au final appris à dire. Elle revenait avec de petites choses qu’elle a ramassé lors de ses “navatures”, des cailloux, des plumes, des coquillages, de nouvelles blessures mais de l’énergie plein les yeux que je ne lui reconnaissais pas, un côté casse-cou qui aura bien souvent brisé sa peau. C’est à moi qu’elle racontait tout, du mieux qu’elle le pouvait. C’était frustrant de ne pas tout comprendre, mais elle a appris au fil du temps, à force de me raconter ses aventures, ses peines, ses joies, ses peurs, même si elle n’a jamais appris à faire la différence. Soit c’était bien, soit c’était mal, et là encore, la ligne était parfois bien floue.


    Puis, une nouvelle présence est arrivée dans nos vies après 6 ans passés seuls ensemble. Un tout petit tylton jaune qu’elle a nommé Plume, qu’elle a toujours prononcé Plum. Je suis le seul à connaître son prénom d’origine-- qui est resté Plum pour éviter les moqueries. Plum a vraiment changé notre vie, a aminci la frontière entre elle et moi. C’est grâce à lui que j’ai enfin pu refléter des rires de sa part, des sourires, du support et une féroce complicité. Il l’a toujours défendue, bec et serres, il a tout vu, tout entendu, comme moi. Les insultes, la négligence, mais pour la première fois de notre vie, Kalei et moi n’étions plus seuls.


    Si Plum n’a pas pu lui apprendre ce que nous savions déjà, je l’ai vue apprendre à canaliser, ne serait-ce qu’un peu plus. Plus elle grandissait, plus nous devenions proches elle et moi, comme nous et lui. Plus grande, plus forte, beaucoup moins tolérante à tout ce qu’on lui faisait-- ou ne lui faisait pas. De plus en plus de crises, de colères, d’incompréhension.  


    Nous étions fatigués. Épuisés. À bout de souffle. Nous étions seuls. C’est pourquoi, après une autre journée à tout casser, nous sommes devenues plus proches que jamais et nous sommes parties. Pour nous, pour Plum. Si elle ne m’a jamais vraiment considéré comme une partie d’elle-même, le fait qu’elle m’ait apporté avec elle, inconsciemment, lors de cette fameuse nuit, me montre à quel point elle pense à nous, à quelque part. Les aventures allaient être éternelles, les voyages seraient sans fin. Nous serions seuls par choix, non plus par obligation.


    Plus jamais.


    Kalei avait 13 ans quand elle a quitté le domicile familial sans la moindre trace, pour ne jamais revenir, pour faire ce qu’elle a toujours fait: Apprendre la vie, seule avec Plum, celle sous ses propres pieds, à la dure. À la dure, ça oui; le changement aura été très difficile à encaisser pour elle, surtout au départ. Comme une morte, comme la personne qui n’a jamais existé, elle n’a jamais été retrouvée. Elle a finalement rejoint les skulls, cherchant encore inconsciemment le côté très fraternel de la team, pour au final se renfermer et tout rejeter comme elle l’a toujours fait. Malgré son jeune âge, elle apprend vite-- très vite. Elle a su être utile, malgré son manque d’attachement avec qui que ce soit autre que Plum et moi, mon existence devenant de plus en plus floue au fil du temps, mais tout de même différente de la sienne. À chaque fois qu’elle me voit, je vois le doute, les réflexions dans ce qu’elle reflète en moi.


    À quel moment est-ce que Kalei a réellement été Kalei ?


    Elle est partie quelques années plus tard, volant un bateau pour s’échapper, encore-- là encore, elle ne trouvait pas sa place. Ils ont tenté, elle-même le sait; mais elle n’a jamais cru leurs paroles, l’attachement qu’ils prétendaient avoir, le elle qu’ils voyaient en nous. Elle-même ne trouvait pas le elle entre ses mots, ses actions, ses émotions pêles-mêles au creux de sa tête qui hurle sans arrêt. Alors pourquoi ces cons y verraient quoi que ce soit ? Ils ont essayé. Ils ont essayé très fort de la garder, de la convaincre qu’elle était leur sistah malgré tout, mais elle n’y a jamais cru, ayant l’impression qu’ils voulaient la garder simplement car elle était utile, comme tous l’ont fait avant eux.


    Elle est finalement arrivée à Netovia avec Plum, grâce à ses faux papiers des skulls et l’argent qu’elle avait volé à la famille, pour officiellement commencer la vie qu’elle n’a jamais eu. Elle a enterré son passé dans les flammes de ses propres colères et rancunes, préférant oublier ce qui la trouble, ne pas s’en soucier comme elle le vit déjà bien assez, ce qui l’a forgée pour être quelqu’un comme nous, en éternel syndrome de l’imposteur contre son propre reflet et la colère bien encrée au fond du cœur.


       
    PLUM (TYLTON) — RANG D
    Elle a rencontré Plum lors d’un voyage à Hoenn, elle est alors âgée de 6 ans. Elle sortait la nuit pour explorer le monde, s’échapper-- découvrir la vie d’elle-même, indépendante comme jamais.


    C’est dans une jolie plaine entourée d’arbres qu’elle a rencontré un groupe de tyltons dont elle s’est vite rapprochée au fil des nuits de son voyage. Elle leur apportait à manger, jouait avec eux, dormait, pour la première fois comme une personne dotée d’une humanité, d’une douceur et d’un amusement enfantin qu’elle n’a que très peu développé à ce moment-là dans sa vie. Une nuit en particulier, le groupe de tyltons et leur nouvel oreiller humain furent attaqués par un mangriff venu pour voler leur nourriture, ce qui les poussa à s’enfuir, l’un d’entre eux bien accroché au bras de la toute petite Kalei pendant toute la course. Les deux avaient eu si peur, mais ils se sont tout de suite adoptés, voulant l’un comme l’autre protéger cette nouvelle personne dans leur vie après cet événement haut en émotions et en adrénaline. Il fut nommé Plume, qui devint Plum par la mauvaise prononciation de Kalei.


    Il est doux, sociable, joyeux et tout simplement adorable, donc au premier abord tout ce qu’elle n’est pas-- mais il a tout vu, tout vécu avec elle et la comprend mieux que personne, le piaf est moins stupide qu’il en a l’air. Même s’il n’est pas porté à se battre contre les pokémons qu’il croise, assez pacifique, il est un féroce protecteur, et ce même si Kalei est physiquement capable de se défendre seule. Il est plutôt le gardien de la Kalei tout au fond de son cœur, enfouie, cachée, refoulée, comme un véritable pokémon de service et de soutien émotionnel qui anéantit chaque menace de ses bec et serres pour défendre ce qu’il protège.

    KOLAIRE. Eh oui, c’est encore elle. Pourquoi ? C’est simple: Sa première fiche ne lui allait pas du tout ! Quelle misère ! J’ai donc décidé de lui en refaire une, qui fonctionne mieux avec la demoiselle.

    Des bisous à ceux qui jugent les mériter, car la KOLAIRE n’est pas une femme très sympa.



       
    Juh Wangsaeg
    Juh Wangsaeg
    Messages : 59

    Sujet : Re: So I dub thee unforgiven [Kalei]

    rédigé le Mar 29 Juin - 17:12
    LA KOLAIRE
    Ikhaar Andersdòttir
    Ikhaar Andersdòttir
    Messages : 390

    Sujet : Re: So I dub thee unforgiven [Kalei]

    rédigé le Mar 29 Juin - 17:15
    LA FUTURE FEMME
    Skorri Brekason
    Skorri Brekason
    Messages : 418

    Sujet : Re: So I dub thee unforgiven [Kalei]

    rédigé le Mar 29 Juin - 19:19
    REBIENVENUE KOLAAAAIRE
    Juh Wangsaeg
    Juh Wangsaeg
    Messages : 59

    Sujet : Re: So I dub thee unforgiven [Kalei]

    rédigé le Mer 30 Juin - 15:49

     
    FELICITATIONS TU ES RE-VALIDE(e)
    Bon, je te fais pas l'affront de te demander la tcard et compagnie



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